Pour ceux et celles qui auraient parfois ressenti des doutes face aux études dites de genre comme il nous est arrivé d' en avoir, une interview d'un chercheur Arthur VUATTOUX travaillant sur les préjugés de genre à l'oeuvre dans le traitement de la délinquance des êtres humains adolescents par la justice des êtres humains, a levé, quant à nous, nos doutes : Les études dites de genre peuvent constituer un bon outil pour améliorer les sociétés humaines d'individus et ne sont pas (qu')une ruse pour des femmes afin d'accéder au pouvoir pour ensuite dominer (et faire chier les autres comme des grosses connasses dominantes et maternalistes soit exactement de la même façon que les gros connards dominants et paternalistes)...

Cf. « Justice desmineurs, « les garçons se retrouvent plus souvent en prisonque les filles. », interview d'Arthur VUATTOUX, Libération, 24août 2018.

• Moi pour le dire plus simplement je dirais que les études de genre travaillent sous et par le motif du tryptique dynamique « liberté, égalité, fraternité ».
• T'es sûre que c'est une formulation plus simple ?
• Oui et je rajouterais que le tryptique dynamique « liberté, égalité, fraternité » est toujours une idée politique neuve à l'oeuvre et à mettre en œuvre quoiqu'ayant près de deux cent ans.
• Bien sûr.

Voir aussi : « Ces affaires qui dégenrent #metoo », Sonya FAURE, Libération, 25 et 26 août 2018.