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Affichage des articles du août, 2008

ARCHIVES, danse, avril 1999.

Compte-rendu de lecture des fiches rédigées par les membres des conseils consultatifs au sujet des œuvres chorégraphiques présentées sur les plates formes internationales des Rencontres chorégraphiques internationales de seine-saint-denis de 1998, avril 1999..... __________________________________________________________________________ « S'il semble assez évident que la danse est une part de la vie, dire quelques mots sur ce qu'est la danse ne l'est pas du tout. « Ce n'est pas ceci, ce n'est pas cela », la danse est faite de relations sociales. Bien qu'elle puisse les influencer. La danse n'est pas l'émotion, la passion pour une telle, la colère contre un tel. Dans son essence, dans la nudité de son énergie, elle est une source dont la passion ou la colère peuvent surgir dans une forme particulière, elle est la source à partir de laquelle peut être dérivée l'énergie qui s'exprime en différents comportements émotionnels. C'est l&#

Les impensés de la ligne de fuite.

Trop souvent est négligé dans les cadres de la pensée contemporaine s'exprimant par le biais de l'écrit, l'O.P.A sur les termes « Culture » et assimilés, réalisée par les milieux artistiques voire plus précisément les milieux administratifs et commerciaux liés aux productions des milieux artistiques. Or Justice, économie, politique, agriculture, science, etc… constituent autant de milieux culturels. Exemple : lorsque je dépose de l'argent à la banque, je réalise un acte culturel, je ne réponds, ni n' effectue un acte naturel en déposant de l’argent dans une banque. Ainsi, dans cet exemple, les personnels travaillant dans les établissements bancaires sont autant d'acteurs culturels au même titre que les agents de police, les juges d'instruction, les élus républicains, les commerçants, les gardiens de prison, les mères au foyer, les éboueurs, etc.. Les artistes, créateurs, etc.. quant à eux rejouent sur scène ou en œuvres afin de produire de l&#

Considérations sur la façon en littérature générale utilisant le véhicule du français

Il nous semblait opportun de rappeler que la tradition de la littérature générale utilisant le véhicule de la langue française s'est formée autour de textes premiers dont fait partie "le Roman de renart". Diffusé au moyen âge, cette série de fabliaux nous conte les aventures de Goupil, renard de son espèce, qui s'ingénie à ridiculiser le loup. Ces points de départs (trame) de la façon qui a travaillé les lecteurs et acteurs de la chose écrite en (de par le) français nous éclaire une perspective. On peut ainsi songer que la lecture à haute voix du dit roman de renard au patient de Freud qualifié de "l'homme aux loups", quoique de langue allemande, aurait certes contribué de façon efficiente à son apaisement bien que ruinant la prétention scientifique du savant tout en cependant respectant le serment d'Hippocrate propre à l'exercice de la medecine, etc...

Remix "nous nous sommes amusés à réécrire des articles parus dans art press 348"

Envers et retour en avant . Il est des oeuvres que nous regardons différemment; parce qu'elles ont en elles la prémonition ou le sentiment de leurs auteurs. C'est sans doute pour cela que sont édités des romans posthumes et inachevés : parce qu'il parle de l'achévement et du retour vers le commencement. Milan KUNDERA n'a cessé d'écrire sur cette idée et Wim WENDERS tenta d'en faire un film (L'Etat des choses, _____). Quant à Jörg IMMENDORFF, il a laissé des oeuvres qui semblent de ne pas lui ressembler. C'est au moment où il se rapproche de sa réconciliation envers et avec lui-même par l'acceptation de sa fin que ses oeuvres laissent apparaître la matière des peintures. Les squelettes brandissant une faux, coupes anatomiques, corps écorchés, bébés à deux têtes et ruines antiques deviennent non morbides et étrangement familières. Et l'ombre d'une représentation de singe, cousin ancêtre de l'artiste, de faire le ménage à grands