Lu dans le journal Libération du mercredi 07 mai 2017 : « suivie depuis quatre ans par un thérapeute, elle dit souffrir de syndromes de stress post-traumatique. Toujours en arrêt maladie, elle fait désormais du bénévolat auprès d'enfants en difficulté, « pour garder le lien social ». » Euh, est-ce qu'il est sûr qu'une telle personne puisse vraiment apporter de l'aide à des enfants en difficulté ?
Ou,
en fait, tout le monde s'en fout et les enfants en difficulté sont
là pour permettre à des dépressifs et des tarés de se croire
toujours des « insiders » pour parler novlangue. Les
pauvres, les enfants en difficultés des pauvres (les enfants des non
pauvres se faisant payer des cours particuliers, j'imagine) sont non
seulement pauvres ou en difficultés mais en plus ils devraient se
taper la compagnie de personnes dépressives ou larguées qui font
sembler de les aider pour être aimées et ne pas affronter leurs
démons. Au secours !. Je peux me tromper mais il nous semble
que pour lutter contre l'extrême droite et le populisme de droite ou
de gauche, il faut s'attaquer à ces chantiers de la double peine des
pauvres ! Car, même pauvre, pour ce que nous en savons, l'être
humain préfère en rire. Vivement les normes ISO pour les structures
de bénévoles a fortiori caritatives !
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