Voici l'exemple d'une vieille multinationale culturelle qui sait parfois se rénover afin de garder une influence dans les décisions prises par les uns et les autres: l'Eglise catholique dans sa filiale française a organisé le pardon des surfeurs à SAINT-JEAN-TROLIMON dans le finistère soit là où la terre se finit. « une célébration unique en France dédiée aux amateurs de sports de glisse » nous dit le journal Le Télégramme.

 (bon ok, c'est une organisation qui manque un peu de parité et qui a connu quelques problèmes judiciaires toujours en cours, mais bon, ils ont pour eux dans le bon et mauvais sens d'être une organisation qui a à son actif une expérience et des archives de fonctionnement de plusieurs années soit un peu plus de deux mille années, ils ont également au cours de ces années acquis une capacité à dialoguer avec leurs concurrents (eglise orthodoxe, protestante, organisations juives et mulsumanes) dans des séminaires oecuméniques qui ont complétement effacé les guerres qui ont pu exister entre ces différentes multinationales culturelles, cette longue expérience peut ainsi compenser une relative faiblesse dans leurs maitrises des compétences et enjeux des nouvelles technologies numériques d'information et de communication dont les entreprises ont, pour les plus vieilles trente, quarante, voire cinquante ans grand maximum soit quand même mille neuf cent cinquante années de moins d'expérience et d'archives de fonctionnement d'une organisation humaine transnationale ...
cf. article. Pardon des surfeurs, quand l'église Bénit laglisse, le télégramme. Lundi 17 septembre 2018
Extraits « Morgane surfe depuis plus de dix ans. Elle est athée et découvre, elle aussi, l'événement. Elle est venue en voisine, de Penmarcc'h (29) « par curiosité ». « C'est sympa. Ce genre de rassemblement permet de retrouver l'esprit originel du surf c'est-à-dire la convivialité. Il faut retrouver cette notion de partage. Çà c'est un peu perdu »
Pour aller plus loin : une étude du marché de l'hostie qui connaît une récente dérégulation associée à une baisse des consommateurs au travers de la présentation d'un lieu de production : le Carmel de Laval : « on les appelleles boulangères du Bon Dieu » Ouest France, lundi 17 septembre2018.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog