Chose bien comprise s'énonce clairement : Lu dans Libération, samedi 22 et 23 septembre 2018 : « Le sujet reste entièrement brûlant aujourd'hui aujourd'hui, tant ce mécanisme de domination de l'Autre et de mépris de sa différence semble prêt à resurgir au moindre relâchement de notre vigilance », donc soyons vigilant aussi dans les représentations véhiculées par le langage et modeste dans nos possibilités de description et de nomination et ce afin de garder de l'air pour respirer en tant qu'individu, c'est pourquoi nous proposerions plutôt « tant ces mécanismes de domination des uns et des autres, des uns envers les autres et des autres envers les uns ainsi que des mépris petits ou grands pour les différences et les expériences semblent prêt à resurgir au moindre relâchement de notre vigilance notamment envers le facisme lové endémiquement dans nos langues, nos usages et nos coutumes. » Bon, Ok, c'est beaucoup plus long comme phrase et nettement moins « punchline » mais bon ...


(cf. editorial Alexandra SCHWARTZBROD, Libération 22 et 23 septembre 2018.)

Plus légèrement au sujet de la phrase « ce livre peut agir comme un électrochoc, du moins espérons-le », nous voudrions rappeler que les électrochocs ont depuis longtemps dans les théories médicales cessé d'être considérés scientifiquement comme une bonne technique pour « réveiller » les esprits, Antonin ARTAUD vous en parlerait mieux que moi car cette technique n'est plus utilisée dans les hôpitaux psychiatrique de nos jours, Donc pourquoi donc maintenir donc ce concept d'électrochoc bénéfique dans les propos et les écrits au XXIe siècle, donc ?


À noter le dossier paru dans le Libé du 22 et 23 septembre 2018 au sujet de la publication de l'ouvrage collectif d'historiens SEXE, RACE et COLONIES dont j'ai lu une partie « Colonies, les racines d'un racisme nommé désir »


Meditation : la numérisation des activités humaines, et/ou peut -être plus particulièrement le formatage, peuvent-ils être aussi considérée comme une forme de colonisation ?


Un peu de propagande : Une chanson que Laetitia CASTA disait écouter avant de sortir de chez elle le soir : Aimer d'amour. Boule Noire. https://youtu.be/ChbsqgJvL-o

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