Addenda : Maitre PINARD, un des meilleurs critiques littéraires de Charles BAUDELAIRE et accessoirement procureur impérial dans le cadre du procès envers l'offense à la morale publique constituée par l'ouvrage « les fleurs du Mal » en son époque, a dit dans son réquisitoire :
Ajouter une légende « Charles BAUDELAIRE n'appartient pas à une école. Il ne relève que de lui-même. Son principe, sa théorie, c'est de tout peindre, de tout mettre à nu. Il fouillera la nature humaine dans ses replis les plus intimes ; il aura pour la rendre, des tons vigoureux et saisissants, il exagérera surtout dans ses côtés hideux ; il la grossira outre mesure, afin de créer l'impression, la sensation. Il fait ainsi, peut-il dire, la contrepartie du classique, du convenu, qui est singulièrement monotone et qui n'obéit qu'à des règles artificielles. » Exempté la prétendue « volonté d'exagérer ou de grossier » qui nomme en fait la volonté de montrer ce qui est d'habitude tue ou masqué, c'est quand même pas mal comme description dynamique des textes Ce n'est pas plutôt « génétique » le terme exact à employer en matière de critique littéraire et non pas « dynamique » ? … Si j'en crois Saint Gérard GENETTE, c'est c