TD attention nous avons voté pour la gauche politique !!!!
nous avons lu l'article « le plafonnement des revenus : les PDGS se rebiffent » publié dans le journal Le monde du samedi 16 juin 2012
[…] «objectif : faire comprendre à Matignon et à Bercy que la mesure va rendre les entreprises ingouvernables. « Comment voulez-vous qu'un patron se fasse respecter s'il est payé trois, quatre, voire cinq fois moins que ses subordonnés », s'inquiète un lobbyiste mandaté pour l'occasion . »
NDLR : ben ils n'ont qu'à baisser les rémunérations des subordonnés, nous avions cru comprendre que l'échelle de 1 à 20 était celle d'une politique s minimum afin que le tissu social ne s'embrase pas. Puis bon si des subordonnées gagnent 50 fois plus que le salaire de base, l'echelle des salaires est donc de 1 à 50 et non de 1à 20.[+ ohé les flics vous avez lu, pourquoi continuez à servir les intérêts de mecs qui ne vous respectent pas puisque vous gagnez des clopinettes, laissez nous entrer chez eux violer leurs femmes et les égorger]
« s'il est adopté en l'état, ce décret va instaurer un systéme de rémunératio à plusieurs vitesses basé non plus sur le mérite, mais sur le statut juridique du poste occupé, ce n'est pas sain » s'inquiète l'un d'eux [PDG frondeur]
NDLR : Là il y a un argument qui nous semble complétement foireux ceci dit nous n'avons pas lu le décret qui est peut-être mal rédigé: une échelle de salaire de 1 à 20 est ce que l'on nomme une politique salariale, cela ne dépend pas du statut juridique + comme il n'est d'ailleurs pas sain que des PDG et leurs hauts subordonnés qui plantent des entreprises et des salariés et des sociétés humaines continuent à faire croire qu'ils sont méritants parce qu'ils contrôlent les discours sur les évaluations.
« « S'il fait çà, les meilleurs vont faire leur valise très vite » prédit-on en interne [à EDF]
NDLR : Les meilleurs selon quelques critères ? + est-il si sûr que cela serait une catastrophe ?
NDLRDLR : je crois que ces personnes n'ont toujours pas compris l'époque qui arrive.
+ libérez Philippe El Shennawy.
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