Ne pas confondre HaDopi et pomme d'api : ma tentative de contribution à la recherche du graal post hadopi.

Ne pas confondre HaDopi et pomme d'api : ma tentative de contribution à la recherche du graal post hadopi. une animatrice de radio parlait avec un chanteur d'un groupe de rock français, une critique musical animait une émission sur des ondes radiophonIUES et s4entretenait avec un garçon chantant en français et parfois en anglais dans un groupe de rock, une femme d'un âge moyen dont il n'était pas possible de connaître l'habillement s'exprimait dans un dialogue diffusé par les ondes radio qu'il était possible d'entendre sur un appareil dit transistor même s'il est possible qu'il ne comporte plus aucun transistor en son sein, donc en ce jour précis et à cette heure précise, quelqu'un doté d'oreilles aurait pu entendre s'échapper des paroles signifiant que la femme avait entendu dire que le chanteur français de rock (mais pouvant s'exprimer parfois en anglais voire en franglais dans une sorte d'hommage involontaire à etiemble,, avait entendu dire que ce chanteur de rock dont le groupe est domicilié fiscalement en France, avait entendu dire que ce chanteur de rock qui a suivi sa scolarité dans les écoles de la république de France qui montre ses seins nus sur les barricades et dans les tableaux, que ce chanteur de rock avait écrit un ouvrage, avait écrit un livre publié par une maison d'édition, diffusé par un groupe affilié à un groupe et vendu da,s les librairies et les supermarchés, avait rédigé … l'animatrice d'émission de radio, critique musical et sans doute sans que nous le sachions mère de famille, femme d'un homme ou d'une femme, maitresse experte en l'art de jouir et faire jouir, excellente cuisinière de la daube de veau, phobique quant aux -----------, cette femme d'un âge moyen dit qu'elle n'avait pas reçu le livre du dit chanteur d'un groupe de rock ayant un numéro de Siret en France au travers de son label , cette femme grande professionnelle dit qu'elle n'avait pas reçu le livre et elle partit dans une grande diatribe, se lança dans une grande dissertation critique comme se disait en 1734 mais dont le sens partagé en territoire français et républicain à l'orée du XXIe siècle relève le goût amer du propos, se lança dans une grande diatribe où s'exprimait la colère de la dite dame (cF plus haut dans le texte pour tentative de description plus complète), la colère de la dite dame où s'exprimait l'ire de la critique musical n'ayant pas reçu des services de presse de la maison d'édition du dit livre de format rectangulaire habituel et non sorti directement en version poche signifiant de plus gros tirage qui permettent ainsi un prix de vente à l'unité et auprès du lecteur qui est ravi d'enfin trouver ce texte qu'il cherchait depuis tant de siècles et d'errance dans les limbes cosmiques, permettant un prix de vente raisonnable pour le budget moyen d'une famille de quatre personnes survivant avec un salaire minimum et demi, les allocations familiales et les produits de la vente par leur fils aîné de haschih directement auprès des particuliers, la critique musical se plaignit que le livre du chanteur de rock qui a une carte d'identité où il est écrit liberté égalité fraternité, la critique musical se plaignit de ne pas avoir reçu le livre et partit dans une grande diatribe contre l'étroitesse d'esprit des attachés de presse de ne pas envoyer un livre à une personne sous prétexte qu'elle est critique musical et non critique littéraire. Cette personne, femme d'âge moyen, etc... semblait sincère, cependant manquait à son raisonnement la possibilité qu'elle avait d'acheter le livre comme n'importe quel quidam lambda ou delta, c'est_à_dire qu'elle aurait pu, par delà le bien et le mal, acheter l'ouvrage littéraire écrit par un garçon qui chante dans un groupe dit de Rock musique apparue en France peut-être dans les années 50 et sans doute par le biais d'Elvis Presley, cette dame aurait pu aller dans une librairie, demander où trouver le livre et l'acheter ou se rendre dans une bibliothèque et attendre que le livre y soit acheté pour ensuite l'emprunter grâce à l'abonnement qu'elle aurait souscrit pour l'année en cours. Cette personne semblait sincère , il est sûr (pratiquement) qu'elle pense que si Hadopi n 'était pas la meilleure solution, il faut bien trouver du moyen et des dispositifs pour faire en sorte que les créateurs blabla gagnent leur vie blabla mais bien sûr la non liberté pour les fichier de circuler sur l'internet et le web est sans doute un mal nécessaire pour que pascal nègre puisse s'acheter une nouvelle voiture, bien sûr blablabla bien sûr bien sûr mais pas pour moi puisqu'il ne m'est même pas venu à l'idée spontanément d'aller chercher le livre où il pourrait se trouver sans qu'il ne vienne à moi. Blabla.. [la semaine prochaine : les critiques defendent dans leurs critiques d'abord leurs jobs et non pas l'art au sein du quel ils sont critiques, pour lequel ils sont critiques, envers lequel ils se sont fait critiques, dans la glue duquel ils éructent des critiques, ….

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