we can be heroes everyday. Almost. Nearly.Yes.

Nous avons lu un article signé par monsieur FASSIN dans le journal Libération daté du 20 décembre 2010 et nous n'avons rien compris : il nous avait semblé que le principe gouvernant ce qui est appellé l'extrême droite consiste à s'appuyer sur la haine (attiser, orchestrer, organiser)pour gouverner et de n'avoir aucun projet politique si ce n'est d'acquérir les pouvoirs pour bénéficier de privilèges et avantages pour soi et ses proches [je le rappelle : personne ne devrait se battre pour acquérir les pouvoirs mais chacun devrait s'empresser de les partager, disperser et diffuser car il n'y a rien de plus ___ que d'exercer un pouvoir] Bref, vu sous cet angle ce qu'écrit monsieur FASSIN dans l'article sus mentionné nous paraît juste du pédalage dans la semoule. si la tentative de ce monsieur est bien de désactiver le vote Front National par des articles de journaux alors nous paraît-il il s'agirait de relater ce qu'auraient réalisés les

voyons les choses du bon côté envoyé par manuelleyerly . - Regardez plus de vidéos comiques.

Propagande pour moteur de recherches du futur « EN 2012, les élections présidentielles françaises porteront essentiellement sur les enjeux politiques des nouvelles technologies de l’information et de la communication : grosso modo, la gauche politique prônera une société où la norme serait l’open source et la libre circulation et hybridation alors que la droite politique défendra une société où dominerait la propriété et l’exploitation industrielle. Les débats seront passionnants et même les plus apolitiques des apolitiques avoueront qu’il est là question de quelque chose de réellement politique et nombre d’industriels avoueront qu’ils ne s’étaient pas rendu compte qu’ils promouvaient une société de droite. +(perso) manuelle yerly recevra en 2011 un chèque de 100 000 euros. »

open source, propriété industrielle, what about littérature ? Argumentation pour Florent GALLAIRE Florent GALLAIRE n’aurait pas porté atteinte au droit moral de Michel Houellebecq mais porté atteinte au contrat d’exploitation de l‘œuvre dite « la carte et le territoire » par les éditions Flammarion, cependant comme monsieur Houellebecq avait oublié de mentionner, dans le contrat de cession de ses droits d’auteur de l’œuvre dite « la carte et le territoire », y avoir inséré des emprunts à une œuvre collective dite « l’encyclopédie wikipédia » produite et induisant des circuits hors de l’exploitation commerciale, il devrait être possible de considérer le contrat de cession de droits comme nul et non advenu, et les éditions Flammarion aurait pu si nous nous en tenons au seul droit se retourner vers Houellebecq et non vers Gallaire, et si nous ne prenons pas en compte les considérations liées au business et aux piles des ouvrages imprimés sur papier intitulés « la carte et le territoire 

brancusi contre etats-unis from manuelle YERLY on Vimeo .

pas tout et presque pas [le journal de Ramuz] from manuelle YERLY on Vimeo .

Les fuites des oléoducs dans le delta du fleuve niger menacent réellement la vie d'individus, de communautés humaines, de faunes et de flores. C'est pourquoi nous demandons aux hommes et femmes politiques qui s'agitent au sujet de fuites supposées de textes diplomatiques par le biais du site wikileaks de concentrer leur energie et leur possibilités d'actions sur des causes qui en valent vraiment la peine : éviter aux communautés vivant dans le delta du niger de basculer dans l'économie de la délinquance pour continuer à survivre (comparer avec "soigner les caprices des monarchies autoritaires et arcahïques de l'arabie saoudite". Bref, merci de demander aux sociétés en charge de ces oléoducs de les réparer et de "réparer" également les atteintes écologiques déjà réalisées.

questcequunauteurbanane V envoyé par manuelleyerly . - Plus de vidéos fun.

Quelque chose de profondément stupide : de l’origine d’un malentendu. Nous survolions debout dans un supermarché culturel un ouvrage présenté en tête de gondole et présentant les fragments de poésies et d’écrits de mademoiselle marylin Monroe et de ne parvenir à nous empêcher d’y voir l’aspect grotesque de l’entreprise. Loin de n’y trouver les textes (rien que les textes) afin de nous y confronter, nous y trouvions des photographies avec des légendes telles que « Marylin regardant une statue de Degas », ou « Marylin lisant Tolstoï » ou « Marylin lisant Joyce » que nous trouvions pour le moins ambigüe (nous ne souvenons pas avoir vu des légendes comme « Camus lisant Tolstoï » ou « Louis Jouvet regardant une statue de Degas » ou « Marguerite Duras lisant Joyce » mais il se peut que nous nous trompions). Nous y trouvions également les photographies des écritures manuscrites avec tous les détails (« écrit sur le papier toilette de l’hotel Hilton », etc..), détails qui en règle général

Vraiment au tout début des années 80 (le concert de Frank Zappa), Lorsque Fred C. alla au concert de Franck Zappa, il n’y avait pour lui que peu de doute sur le fait qu’il allait voir Dieu en concert. Non pas son Dieu, non pas un Dieu mais bien Dieu lui-même. C’était bien sûr avant les grandes vagues des privatisations de tout, de rien et de leurs contraires. Il y avait du avoir une première partie qui n’en finissait pas suivi d' une sorte d’entracte qui n’en finissait pas à son tour ; Ainsi lorsque Franck Zappa apparut enfin sur scène, une certain nombre de personnes, quoiqu’en nombre certain, déjà bien entamées dans leur niveau de conscience et de réception de l’œuvre de Franck Zappa lui lancèrent quelques canettes pour le saluer. Dieu demanda alors des excuses et reçut une nouvelle pluie de canettes en guise de réponse, peut-être quelqu’un cria-t’il "à poil" mais cela nous ne le savons pas (ne nous a pas été rapporté).Puis Dieu s’eclipsa et refusa de jouer son conc

la manifestation, nous sommes tous des leporello, 2 envoyé par manuelleyerly . - Films courts et animations.

Le premier novembre 2010. Expression du XXie siècle : Ne fais pas ton Joseph Yerly : n’en fais pas qu’à ta tête ou plus prosaïquement « finis ce que tu as dans ton assiette. »

Le 3 nov. 10 Notre père nous raconta que sieur voltaire avait l’habitude de s’écrire de lettres à lui-même : en effet, le temps que ses missives lui parviennent il en avait oublié le contenu et se trouvait fort joyeux de lire une prose si convenante à son esprit et de surcroît lui étant personnellement destiné.

Le 2 novembre 2010 Si nous étions paysan, mineur ou ouvrier chinois, nous signifierions notre désaccord quant à l’emploi de nos économies (épargne) afin de financer la fiction de l’existence d’une classe dirigeante et ce afin de rassurer les autoritaires dignitaires du parti capitaliste implanté en Chine et ainsi par la signification de ce refus d'entrainer ou rejoindre les mouvements dépassant les économies d'exploitation pour entrainer vers les économies de la coopération (MANDIBULE, préambule, hors jeux les crapules)

Le 10 juin 2010 La ronde des déclassé(e)s Suppôt supposé suppositoire Auditoire de constipés Suppôt supposé suppositoire Conservatoire des préjugés Poil au nez, poil au nez, Montrez, montrez vos nénés. (ou/et) Panaris, poil au riz, Montrez, montrez vos zizis. Branle, branle l’étant provisoire Pour ébranler ta postérité réveillée Branle, branle l’étant provisoire Pour réveiller ta postérité ébranlée Poil au nez, poil au nez, Montrez, montrez vos nénés. (ou/et) Panaris, poil au riz, Montrez, montrez vos zizis. Suppôt, supposé, suppositoire Contradictoire des possédés, Suppôt supposé suppositoire Observatoire des mals nommés Branle, branle l’étant provisoire Pour ébranler ta postérité réveillée Branle, branle l’étant provisoire Pour réveiller ta postérité ébranlée Poil au nez, poil au nez, Montrez, montrez vos nénés. (ou/et) Panaris, poil au riz, Montrez, montrez vos zizis. Suppôt supposé suppositoire Supposé foire aux vanités Suppôt suppos

les burkas cheveux (bande annonce) envoyé par manuelleyerly . - Futurs lauréats du Sundance.

Dans les années 90 Ce matin-là,j’avais du me réveiller un peu tard et n’avait pas du écouter la radio, lorsqu’après avoir descendu les escaliers de chez moi, j’arrivais dans la rue, je vis toutes les équipes de journalistes parler avec des micros et compris peu à peu que qu’ils s’étaient repliés vers cette rue puisque les CRS et leurs boucliers barraient l’accès des petites rues menant à l’Eglise Saint-Bernard. Depuis plusieurs jours ou semaines déjà, les camionettes des radios et des télévisions squattaient toute la place pour couvrir l’actualité des personnes immigrés économiques et clandestines qui s’étaient réfugiés dans l’Eglise. Pour prendre le métro Porte de La Chapelle, il me fallut donc passer par les grandes artères et de voir la place Saint-Bernard remplie de CRS casqués et boucliérisés , puis de voir d’autres camions de CRS arrivés donnaient à ce matin-là une atmosphère de guerre ou de défaite après tout le folklore des jours précédents. Je ne sais plus si le soir-même

Vendredi 22 octobre 2010-10-22 Nous avons lu le magazine Les Inrockuptibles daté du 20 au 26 octobre 2010 De quoi nous parle l’article « quoi encore ? » « Après une grande boucle en trublion cathodique, en acteur puis réalisateur de cinéma, Antoine de Caunes revient cet automne à ses premières amours rock. D’abord à travers une anthologie DVD de son émission Chorus … » Question : quel rapport entre de’’s amours rocks et la commercialisation d’une anthologie DVD d’une émission de télévision vieille de trente ans produite avec de l’argent public et qui (doit) devrait être en ligne consultable gratuitement sur le site de l’ina ? Vous vouliez dire que monsieur de Caunes revenait dans le business ou nous avons mal compris ? « … ensuite avec un dictionnaire amoureux du rock … » question plus pointue : une dictionnaire peut-il être rock ? Est-ce vraiment aimer le rock que d’en produire un dictionnaire ? Ne s’agit-il pas plutôt de voir s’il est encore possible de gagner de l’argent a

L’exercice de la justice est un rappel de l’existence de l’état de droit et non son seul champ d’existence. Nous survolions un article publié dans le journal Le Monde (ne me demandez pas la date, c’était en faisant des collages que la raison principale pour laquelle nous continuions à acheter des journaux) bref le titre de l’article était « L’état de droit est-il menacé ? » qui retraçait (retranscrivait) les grandes lignes d’un désordre qui avait eu lieu au Théâtre du Rond Point. Or ce que nous avons pu en constater était que les débats portaient sur la justice et son exercice en France, c’est-à-dire non pas sur l’état de droit des citoyens français mais sur comment sont réparés ou examinés les atteintes à l’état de droit des citoyens et de leurs activités. Et cela est bien une caractéristique d’une certaine mentalité qui ne reconnaît pas l’état de droit des citoyens comme l’acquis de base (le préambule nécessaire ) au cadre culturel régissant nos sociétés mais pour qui l’état de droi

TD : qu’est-ce donc qui nous empêche d’appeler un chat « un chat » ? Dans les séries de commentaires commentant les relations entre monsieur Georges-Marie Basnier et Madame Liliane Bettencourt (dont nous nous foutons comme d’une guigne mais nous avions un peu de temps à perdre ou quelques imbéciles à distancer) nous nous étonnions que le terme « gigolo » ne soit pas encore apparu (à notre connaissance, ce qui est une limite considérable à notre propos) nous sommes donc parti en quête d’une enquête inutile, pourquoi donc ce mot n’est-il point utilisé pour qualifier la dite relation : Dans le dictionnaire d’Emile Littré (édition intégrale conçu par monsieur Jean Jacques Pauvert d’après les maquettes de monsieur Jacques Darché et ce dans les années 1960 et appartenant à notre père), le mot n’existe pas. Ce qui est une bonne raison pour ne pas l’employer. Dans le dictionnaire Larousse de notre sœur Anne ainsi qu’écrit en gros sur la tranche et daté de l’année 1976, le mot est qualifié

Les mythologiques Notre père évoquait souvent avec ses sœurs, nos tantes, la mémoire de leur propre tante Léonie qui une fois les pots de confiture finie, les remplissaient d’eau qu’elle buvait afin de ne pas perdre le sucre restant sur les parois. C’était censé être une histoire drôle, ceci dit les années passant et les grands gâchis ostentatoires des sociétés de consommation de n’importe quoi et les grands récits du glamour-toc-choc-dégueuli-chic trépannés, nous éprouvions inexorablement une sympathie croissante pour Tante Léonie.

TD restons calme et lucide mais n’oublions pas de (d’en) rire. Nous nous étonnons toujours que ne soit pas rappelé lors de l’évocation des similitudes trouvées entre des représentations cosmogoniques de civilisations anciennes et les représentations des sciences produites par les humains modernes l’expérience existentielle partagée par tout un chacun bien que généralement inaccessible soit : il faisait nuit, et puis tout à coup dans un grand déluge de matière, de sons, de forces et de « violence » la quiétude du liquide amniotique fut évacuée et la lumière jaillie dans nos yeux ébahis de nous trouver si petits dans un monde devenu si vaste et d’être si impuissants face à ces géants qui nous manipulent alors que nous crions , etc… [existe-t-il des témoignages des personnes dont la naissance (biologique précisons nous juste au cas où certaines personnes seraient en lecture double à la recherche de la pierre philosophale) auraient été filmées sur leur sentiment lorsqu’elles visionnent

Nous étions allées au supermarché du coin ou pas loin pour acheter quelques boites de thon pour nos chats lorsque nous nous retrouvâmes par hasard devant les rayons des plats cuisinés et cela nous paru comme un anachronisme, un reste de pratiques désuètes, le témoignage de l’époque où les humains avaient perdu quelque peu le temps et le goût de vivre, puis nous nous souvenâmes que nous n’étions qu’en l’an 2010 et que la majorité des êtres humains vivaient encore sous le joug de l’ordre industriel bien que les grévistes et les refusants avaient commencé leur action intimant les uns et les autres à s’arrêter pour de demander. Et puis nous nous entendâmes de la propagande diffusée par des hauts-parleurs expliquant aux personnes se trouvant dans le supermarché que s’ils choissisaient trois produits dans tel rayons l’un leur serait remboursé puis la semaine d’après ce serait dans tel rayon et la propagande de conclure en un étrange et retors « Promo libre, c’est vous qui choisissez ». Nous

Nous avons lu que monsieur Gérard Depardieu trouvait que les personnes qui manifestaient pour garder en l’état actuel des organisations économiques de nos sociétés l’âge de leur retraite à soixante ans étaient manipulés et qu’en Espagne la retraite est à soixante sept ans. Quelqu’un pourrait-il mieux formuler la question en direction de monsieur Gérard Depardieu : « Monsieur, si vous étiez salarié d’un studio, obligé de vous produire dans un sit-com dans un rôle de troisième plan huit heures par jour et cinq jours par semaine ou obligé de vous produire dans une série de rôles dans des films dirigés par des imbéciles avec des dialogues imbuvables ou que votre rôle consiste à faire sans cesse la promo de films dans lesquels bien tenir votre rôle serait de ne pas en avoir, n’estimeriez vous point que passé soixante ans, vous pourriez passer la main à des plus jeunes que vous ? » ou « que vous inspire le fait d’allonger la date de la retraite alors que le travail deviendrait plus rare ? »

Chanson populaire Y’en a marre du porno Car c’est pas rigolo On en a plein le dos Y’en a marre du porno Y’en a marre du porno C’est plus chiant que les legos Complétement zéroOOO Y’en a marre du porno La Pornographie Çà nous ennuie Yen marre des zizis c’est pas par là que çà jouit, Y’en marre du porno Car c’est pas rigolo Plus chiant que les legos Y’en marre du porno La pornographie C’est pas très minutie Et c’est sans ce qui se dit Çà nous ennuie Y’en marre du porno Enlevez nous çà du dos C’est plus chiant que sans ego Yen a marre du porno

Expression du XXIe siècle : « être ménopausé par quelqu’un , quelque chose » ou « ménopauser quelqu’un ou quelque chose » exemple : les peuples français étaient complètement ménauposé par la réforme des retraites qui leur étaient proposés et qui ne prenaient pas en compte la nouvelle donne de l’emploi. Ou La commercialisation des données personnelles ménopausait complètement l’esprit des internets. Ou « Cette personne me ménopause rien que d’y penser ! »

Les années 2010 Nous feuilletions le magazine Telerama debout chez notre marchande de journaux préférée, qui rangeait quant à elle une production incroyable de carnets à couverture cartonnée de SUDOKU et autres mots croisés, bref nous feuilletons le magazine et y pouvions lire à peu près les mêmes sujets que ceux découverts en feuilletant auparavant Les inrockuptibles, Libération, le monde, etc… Pourtant, il s’y trouvait tant de publicités que nous eûmes rapidement mal à la tête et dûmes passer le reste de la matinée à regarder et écouter la mer pour nous laver de toutes ces injonctions perçues et enregistrées malgré nous. Un autre jour, une cliente prit à partie notre marchande de journaux préférée en lui demandant pourquoi elle avait mis dans les panneaux publicitaires devant sa boutique cette une d’un magazine critiquant ou louant Sarkozy, la marchande expliqua que ces panneaux ne lui appartenaient pas et que ces une étaient choisis par des groupes commerciaux ou de presse, ma

Le 11 octobre 2010 Nous ne savons pas pourquoi mais il nous a toujours semblé que les communautés de connivence étaient plutôt du côté des technologies appliquées et n’étaient pas du côté où çà se crée, se transforme et donc se fait réellement mais il est possible que nous nous trompions ou presque pas . Il serait même peut-être sans doute à moins que possible de dire (affirmer) qu’en l’an 2010 les communautés de connivence seraient parfois peut-être du côté des étouffoirs (mais là nous abusons) en tout cas ultra conventionnelles pour sûr…

Dans les années 90. Nous ne savons plus si nous regardions une photo parue dans le journal Libération d’une représentation du ballet Le Lac des Cygnes qui se jouaient à cette époque à l’Opéra Bastille ou si O et F avait vu la représentation ou si les deux à la fois, en tout cas, la conversation portaient sur le fait que O n’avait pu ou ne pouvait s’empêcher de trouver « sublime » un moment du ballet où toutes les danseuses en tutu dans une ligne parfaite mouvaient jambes tête et bras dans le même temps et la même forme tout en sachant pertinemment que cette beauté-là est atroce. Peut-être que F s’étonnait que ce « genre de trucs » puisse encore « faire de l’effet » à O et dans notre mémoire pour F ce « genre de trucs » n’a jamais été ni beau ni « subliment atroce » mais tout simplement affreux, juste ce dont véritablement nous ne voulons à aucun prix. Une année auparavant à moins que deux ou cinquante mois plus tard, nous regardions une représentation d’un spectacle de Merce Cunni

Remarques périphériques : Nous sommes des êtres humains et nous avons inventé l’argent pour faciliter nos échanges et nos richesses et nous ne serons jamais esclaves de notre invention et corrigeons et -rons les erreurs d’utilisation ou de conception de notre invention quand s’en présenteront. [ en d’autres termes, « je » n’est pas et ne suis pas l’argent, ainsi que le clament sans ridicule des pubs rédigées style propagande qui paraissent dans les journaux ces jours-ci] Par ailleurs les êtres humains se nourrissent de légumes, de céréales, de viande et de poissons, les êtres humains produisent eux-mêmes leur nourriture à l’aide de l’agriculture et de l’élevage ainsi qu’ils chassent, pêchent et cueillent également ; grâce à la maîtrise du feu, les êtres humains ont développé l’art d’accommoder leurs aliments et se transmettent de génération en génération les résultats de cette patiente recherche dans les arts d’accommoder leur aliments sous la forme de recette de cuisine. Il existe

Conquête du pouvoir ou projet politique de gauche de dispersion et d’équilibre instable des pouvoirs ? Arnaud Montebourg ou l’enthousiasme du Vendeur Représentant Placier Lu dans le journal Libération daté du 16 et 17 octobre 2010 « surtout quand il [Arnaud Montebourg] a découvert le VAN ou vote activation network, un logiciel qui permet au Parti démocrate américain de fouiller dans ses immenses bases de données pour dresser des listes d’électeurs à « activer » avant une élection. Grâce à ce VAN, un directeur de campagne peut en quelques secondes établir, par exemple, une liste d’électeurs indécis ou « à tendance démocrate » habitant un même quartier. La liste et la localisation automatique sur une carte, est ensuite téléchargée sur les i phones des militants qui n’ont plus qu’à allumer leur téléphone pour aller frapper aux bonnes portes… » Super !!! Questions : - les téléphones i phones sponsorisent-ils le Parti socialiste français ou est-il possible d’être un militant PS sans p

Dimanche 10 octobre 2010-10-10 Dieu, la grenadine et les cookies (conte d’automne). L’agneus Dei se détendait sur une terrasse de café en sirotant un lait grenadine bien mérité après une journée de travail à retirer les péchés de ce monde lorsque Satan lui apparût. Salut, écoute, je suis pressé, voilà comme tu ressembles à L’agneus dei, je voulais te proposer un contrat, de fonctionner comme un leurre ainsi je saurais quelles personnes qui me doivent quelque chose essayent de recourir à toi et je pourrais les coincer, qu’est-ce que tu en penses ? L’Agneus Dei allait rétorquer qu’il n’était pas qu’il ressembla à l’Agneus Dei mais qu’il était l’agneus dei quand Satan reprit : Suis-je bête ! je suis Satan, je n’ai nul besoin de te demander ton avis ou si tu es d’accord, abracadabra, scrum bum, sroum vroum. Voilà, je t’ai installé quelques espions invisibles , maintenant les jeunes disent cookies je crois mais je n’ai toujours pas trouvé le rapport avec les biscuits. Bon, salut, à

les recueils à chaque jour suffit sa peine, au blog les fous littéraires, volume I et au blog les fous littéraires, à chaque jour suffit sa peine volume II sont disponibles Là donc non les liens vers le site des éditions leo scheer sont caduques puisque le service d'autopublication de manuscrits a été arrêté (poil au nez)et pour l'instant vous pouvez aller lire les épisodes précédents sur myspace.com/manuelle.yerly

la rousse et l'homme de lettres envoyé par manuelleyerly . - Futurs lauréats du Sundance.

les mots envoyé par manuelleyerly . - Films courts et animations.

les indéfinis, extraits II envoyé par manuelleyerly . - Découvrez plus de vidéos créatives.

les années 70, la vedette verte et le graffiti envoyé par manuelleyerly . - Films courts et animations.

cratos pour tous, tous pour demos ! envoyé par manuelleyerly . - L'info video en direct.

lanièmepromenade envoyé par manuelleyerly . - Découvrez plus de vidéos créatives.

TD « laboratoire d’idées sociales » Nous avons lu l’article publié dans les Inrockuptibles daté du 22 au 28 septembre 2010 concernant le management des France Telecom et si le contenu de cet article est fiable et si nous étions syndicaliste chez France Telecom nous essayerons de savoir quels sont les moyens juridiques existant pour faire passer la boîte d’ingénierie conseil devant des tribunaux : escroquerie intellectuelle, délinquance astucieuse, incitation à la haine, abus de bien social, il doit quand même bien rester quelques juristes de gauche intelligents et brillants dans ce pays pour les aider, non ?

TD depuis la tour de Babel : Nous lisons dans le magazine « les inrockuptibles » daté du 22 au 28 septembre 2010 que le mot « stigmatisé » signifie un homme (ou une femme) qui « reproduit » sur lui-même les stigmates du Christ, soit des plaies ou des mains, là où s’enfoncèrent les clous de la crucifiction.  « C’est un honneur, non une condamnation, et cela n’arrive qu’aux plus grands saints. » précise le dit-journal. Ah, bon ? vous êtes sûrs de ce que vous dîtes. Que Jésus Christ se soit fait crucifié et ait été laissé crucifier constituerait donc un honneur pour lui et non une honte pour ceux et celles qui l’ont crucifié et laissé crucifier ? Il nous semble là qu’il y a un grand contresens dans la réception de ce que tente de nous raconter l’histoire de Jesus Christ. Donc « stigmatiser quelqu’un » pourrait s’entendre selon ce raisonnement comme la tentation de « créer » des saints et des martyrs (ou des héros) ce qui témoignerait d’une grave pathologie collective, non ? donc dire « 

Remarques périphériques : Contrairementà l’époque de Bentham, les questions concernant l’utilité collective de ce qu’est devenu l’argent (qui n’est plus qu’une convention collective (certains noient le poisson en parlant de « système »)) bref les questions concernant l’utilité colective de ce qu’est devenu l’argent se posent en l’an 2010. En d’autres termes, l’argent dit-il encore quelques chose de la valeur ? N’est-il pas d’abord devenu la « fausse monnaie » par excellence, ou de référence, minant toutes les activités d’échange de possibilités et de possibilités des collectivités cherchant à obliger les uns et les autres à des replis vers des communautés concurentielles les unes des autres ? soit le « soupçon » porté sur l’ensemble des activités humaines : « il ou elle fait cela pour de l’argent » ou « en devenant une valeur en soi, l’argent aurait cessé d’être l’étalon ou le signe résiduel de toutes les valeurs possibles et de leur capacités à s’échanger et s’enrchir les unes d

Entendu à la radio que de nos jours l’affect serait considéré comme un traitement de l’information : exercices de raisonnement sur cette base intellectuelle : celui ou celle qui a un traitement négatif de l’information a un affect négatif, celui ou celle qui a un traitement positif de l’information a un affect positif, celui ou celle qui a un traitement neutre de l’information a un affect éclairé, celui ou celle qui s’amuse à déjouer les eventuelles considérations sur les traitements des informations et contradictions inhérentes à cette conception a un affect ludique. Manquement au raisonnement : le traitement des informations doit considérer la réception l’émission et le contexte de réception et d’émission sans omettre malgré tout de considérer in tant soit peu dans la mesure du possible les informations en elle-même et les contexte de surproduction d’informations et de diffusion d’informations toxiques. Conclusion anecdotique et sans rapport avec notre affect :M. TOURRE n’était pas u

Notre mère nous laissait parfois des messages téléphoniques sur notre répondeur assez gais : -Bonjour, c’est ta maman, je voulais savoir si tu es encore vivante. Un jour, alors qu’étudiante, nous découvrîmes sur le tableau des informations de l’Institut d’Etudes Politiques de Lyon où entre les changements de salle du cours de droit administratif et l’annonce de la conférence du pape Pierre Bourdieu à Lyon II, un message demandant à manuelle yerly d’appeler sa maman. L’argument était toujours aussi massue : « je voulais m’assurer que tu es encore vivante. »

Afin de ne pas aller assassiner qui que ce soit alors que des voix de la haine le lui intimaient et que ses détours et ruses poétiques  peinaient ce jour-là à les détourner et les faire taire, Attila Joseph se posa la tête sur un rail de train afin de ne plus les entendre et de ne jamais être possédées par ou dépendant d’ elles. Peut-être que pour confusément les mêmes raisons, une autre tête se penchait dans le même temps ailleurs sur un rail de coke. [ce post a été initialement publié sur myspace]

Dans les années 90, notre futur ex-mari nous raconta qu’il avait d’abord été surpris par la quantité phénoménale de nanas avec lesquelles sortait son colocataire qu’il ne trouvait pourtant pourvu de charme ni particulier ni commun, puis qu’ il avait compris, un jour en se promenant avec lui, que celui-ci draguait systématiquement toutes les filles qu’il rencontrait dans n’importe quelle situation : En ratissant si large, il ne pouvait que récolter en fin de journée ne serait-ce qu’ un numéro de téléphone qui se convertirait au mieux en rendez-vous un jour suivant et ainsi de suite pendant les sept jours de la semaine que Dieu fait. Incarner l’expression « draguer tout ce qui bouge » constituait pour l’ex-colocataire de notre futur ex-mari un véritable second job à plein temps. Ce post a été initialement publié sur myspace

Dans les années 80, T. notre voisin d’en face quoique séparé de six étages en descente puis sept ou huit en montée selon les méandres des arrières cours lyonnaises, bossait dans une boîte de pétrochimie dans un poste d’ingénieur technique. T. était sympa et nous plaisait son côté looser, à côté de tout, fumant des joints et se passionnant pour les DS. Puis un de ses camarades de promotion de centrale lyon lui proposa et de le rejoindre dans sa boîte d’ingénieurs conseil qui bien loin des contes de fées d’Andersen s’ingéniaient activement à rationnaliser les appareils productifs de la région et d’acheter avec lui un appartement. Nous allâmes une fois au ski avec ses nouveaux collègues de travail. L’impression d’être en contact avec ce qui est parfois nommé des « parvenus » nous saisit : ils parlèrent argent, marque de ski et comparaison entre les prix de l’essence sur l’autoroute ou hors autoroute ; nous eûmes aussi un aperçu de la « libération » de la femme cadre supérieur : émancipée,

Un jour alors que je regardais Waterproof à la télévision chez mes parents, mon père vint regarder cette vidéo d’après un spectacle de Daniel Larrieu à mes côtés. Alors que je regardais sans trop comprendre mais en regardant les positions des corps, les gestes, etc.. mon père me remercia d’avoir pu voir cette vidéo et se mit à parler à ma plus grande surprise des philosophes grecs, qu’il avait vu là l’illustration des pensées de certains sur le poids et la préoccupation de leurs corps. La pesanteur du corps et son étrangeté. Puis de retour à Paris, notre boss nous dit au cours d’une réunion de boulot que l’important était que les personnes qui ne connaissent pas la danse de l’intérieur prennent la parole au sujet de l’art chorégraphique pour définitivement sortir la danse du discours des profs de gym et hisser la danse au même rang que les autres arts. Puis William Forsythe téléphona à notre boss pour lui expliquer qu’il renonçait au livre de dialogues entre lui et Paul Virilio car i

« Il y a du processus sous le dispositif » ou « çà sent le processus sous le dispositif. » un « salut, tu vas bien ? » vaut mieux que quatre mille processus sous le dispositif. Un « j’en avais marre de toutes ces conneries » vaut mieux que quatre mille « je suis en plein processus personnel de modification suite au dispositif de valorisation de la dévalorisation induite par le classement du déclassement conçu par l’élite intellectuelle de la glaciation des mouvements sociaux allant pourtant inéluctablement vers le partage des pouvoirs et des travaux. » Un « je me suis envoyée en l’air avec de gros connards » vaut mieux que « j’ai suivi le processus de libération de mes jouissances personnelles dans la cadre du dispositif d’apprentissage du bien être. » Un « je préfère ne pas sucer » vaut mieux que « j’ai bien suivi le processus du dispositif de libération de la femme libérale et disponible. » Un « Merdre au processus ! » vaut mieux que « oh ! mais dis-moi ils t’ont doté d’un gros dispo

Dans les années 90, notre ex-mari s’était fâché tout rouge lorsque nous lui avions raconté qu’un de nos ex-prof de droit nous avait raconté avoir été invité par les brésiliens afin de les aider à rédiger leur constitution. « Voilà bien le premier monde, avait-il dit, comme si les brésiliens avaient besoin d’être aidé pour rédiger une constitution ! ». Et de nous rappeler vertement qu’en Uruguay, les femmes avaient eu le droit de vote en 1914. Puis l’année suivante, nous discutions avec des directeurs de théâtre d’ex pays de l’Est des programmes « vent d’Est » mis en place généreusement  par l’Association Française d’Action Artistique afin d’aider les professionnels des milieux culturels de ces pays à, m’expliquèrent-ils, bien comprendre comment était organisée administrativement la culture en France et quels artistes officiels ils pourraient accueillir. Puis nous téléphonions à des directeurs de théâtre ou de compagnie flamands qui, refusant d’utiliser leur français et, puisque ne conn

Monsieur REISER avait dessiné une contre publicité à celle injonctant les automobilistes francophone à « mettre un tigre dans leur moteur » en proposant au ménagères et ménagers de « mettre un Biafrais dans leur lave-vaiselle ». La famine qui avait sévi dans les années peut-être 75 ou 76 ou77 dans la plaine du Biafra, outre avoir marqué le point de départ de la carrière de monsieur Bernard Kouchner, avait symbolisé dans les imaginaires collectifs le paradoxe d’un monde divisé entre les repus occidentaux et les faméliques des mondes dits en développement. Cela se passait peut-être avant que les politiques systématiques d’aide alimentaire permettant d’écouler les surplus de l’agriculture intensive industrielle nord américaine, européenne et importée vers l’Asie ne détruisent les agricultures vivrières des pays dit en développement accroissant ainsi et la dépendance et  la corruption et la délinquance de leurs populations. Et cela même un mauvais esprit tel que Reiser n’aurait pu l’imagin

« Les vacances d’été sont l’occasion de déconnecter, de lâcher prise. » [Les vacances d’été sont l’occasion pour les urbains de se croire déconnecter ou lâchant prise, tout en se conformant au logiciel du vacancier : se revêtir de shorts immondes, s’enduire d’huile ou crème solaire, s’intéresser aux environnements culturels écrits et fabriqués pour les touristes et leurs porte-monnaie, bref de ne pas se rendre compte qu’ils sont en vacances dans des régions économiquement sinistrées dont leurs venues constituent l’unique manne.]. « En septembre, l’accélération n’en paraît que plus brutal. » [En septembre, le retour au logiciel  « je suis un actif salarié et urbain participant activement à ce monde absurde » a été conçu comme brutal] « La rentrée professionnelle et scolaire, entraîne une multitude de choses à faire à accomplir en un minimum de temps. » [Le retour au logiciel « je suis un actif salarié urbain participant activement à ce monde absurde et espérant de meilleurs revenus po

http://www.myspace.com/manuelle.yerly http://www.dailymotion.fr/manuelleyerly avant scéance de rattrapage therefore. + http://www.dailymotion.com/video/xejeun_l-oisellerie-des-damoiselles_fun

Dans les années 70,un soir à l’internat, dans le château d’Anna de Noailles, après le repas et avant l’ouverture des dortoirs, nous ne savons plus comment cela est arrivé mais nous nous sommes trouvés en foule devant l’entrée du dortoir du troisième étage qui était une sorte de sous-pente et beaucoup de personnes étaient dans les escaliers et ne voyaient rien de la scène qui s’y déroulait mais participaient par leur clameur. Tels des jeux du cirque d’un empire romain décadent , s’y passait une bataille entre deux filles, et que je te donne des claques, et que je te tire les cheveux et toute la foule ne clamait qu’un seul prénom « F. », c’était comme une sorte de mise à mort. Puis la pionne arriva, hurla et nous sortit de cette atmosphère étrange, nous insulta et réconforta Chantal qui avait été l’objet de cette quasi scène de lynchage collectif par le truchement d’un combat de boxe. Nous eûmes honte et plus personne ne parla de cet incident, pourtant cette scène fonctionna pour nous pr

Quand nous étions petites, il existait une émission de télévision sur la Télévision suisse romande qui s’intitulait « les oiseaux de nuit » que notre mère regardait parfois le samedi soir. Dans notre souvenir l’émission était présentée par Patrick JUVET, ce qui n’est bien sûr pas possible. Le lendemain, le dimanche, vers peut-être onze heures du matin, il y avait une émission intitulée « temps présent » où discutaient des personnes sur des sujets politiques et bien souvent des enjeux de la prochaine votation. En effet, dans notre pays, les citoyens, dès lors qu’un nombre significatif, peuvent demander à tout le peuple de se prononcer par oui ou par non sur une question d’organisation de la vie de la Cité, ainsi « faut-il augmenter le prix du pain ? », « êtes-vous favorable à une Suisse sans armée ? » , « faut-il renvoyer les immigrés ? », etc. Ainsi, en allant à l’école, nous pouvions voir les affiches collées sur des panneaux « oui, il faut augmenter le prix du pain ! », « Non, il n

Et nous nous sommes dit « si ce mec y parle de musique, alors nous voulons bien être pendu » Par exemple (parce que franchement c’est tellement gros comme plan « le mec habitué à parler aux personnes qui travaillent dans les ministères ou qui organisent des dîners et qui n’y comprennent que dalle » qu’il nous amuse moyennement de critiquer sa prose) : « Avec la mondialisation, les jeunes compositeurs (ou autres artistes) sont en face d’une réalité beaucoup plus complexe que celle que j’ai connue à mes vingt ans. [qu’est que le concept de « mondialisation » imposé par les milieux de la finance internationale vient foutre là-dedans ? Que les environnements musicaux  et sonores ne soient pas les mêmes, là d’accord, que la musique enregistrée a envahi et tenté de coloniser de très nombreux espaces publics, d’accord, que les oreilles occidentales soient plus accoutumés à des sonorités considérées auparavant comme non occidentales d’accord, que les oreilles et la mémoire des sons des jeunes

Nous entendions une dame parlant à la radio avec une voix frôlant les 36.15 Ulla nous expliquer qu’ il n’y a plus désormais d’espace et de temps avec l’économie financière et que tout se passerait en temps réel. Or bon, nous, vu de notre jardin potager, nous devons admettre qu’il y a bien de l’espace et du temps : ainsi bêcher à la main une surface d’un mètre carré ou d’un hectare ne laisse pas la même impression dans les biceps et ne prend pas le même temps. De la même façon, une plante qui pousse au mois de novembre ne saurait être planté en décembre, et vous aurez beau planter des bananiers en Bretagne il est fort douteux qu’il y pousse en raison du temps qu’il y fait. Nous ne savons pas comment se nourrissent les personnes travaillant dans l’économie financière et leurs adeptes et disciples, m’enfin s’ils veulent manger des steaks, faut bien compter trois ans pour que la bête fasse sa viande. J’sais pas comment ils mettent au monde leurs enfants m’enfin faut quand même compter ne

Lu dans Ouest France daté du 24 août 2010 : « Internet tranché net ! trois ferrailleurs bulgares ont été arrêtés, hier, après avoir tranché un câble métallique. Ps n’importa lequel ! Il s’agissait d’un câble de fibres optiques utilisé pour le transfert d’informations internationales entre l’Allemagne et l’Asie. Leur méprise a provoqué une panne de dix heures dont le préjudice est évalué à 900 000 euros. [Serait-il possible d’avoir le détail du calcul de l’estimation du préjudice afin qu’il soit mieux compris les « richesses » qui ont été ainsi perdues et dont la responsabilité serait imputée à ces ferrailleurs ? Par exemple : manque à gagner pour les sites pornos et les sites de jeux de poker en ligne :  400 000 euros manque à gagner dans la vente et revente de trucs qui n’existent pas ou pas encore par les traders sur les marchés :                     300 000 euros manque à gagner pour les vendeurs d’information en direct sur les consommateurs qui se trouvent sur la toile et où à ce

Ce post a été initialement publié sur myspace

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De la même façon que les cinéastes, pendant longtemps, « s’appuyèrent sur » ou « réalisérent leur film depuis »  la littérature (œuvres écrites ou livres qu’ils avaient lus), dans les années 80 et début 90, certains chorégraphes déployaient ou irriguaient leurs danses sur scène depuis  livres et textes qu’ils avaient lus et parfois des brides de ces textes résonnaient sur les scènes des spectacles de danse. Ainsi nous découvrîmes PESSOA grâce aux MONTET-DIVERRES, Maurice BLANCHOT et italo CALVINO grâce à Odile DUBOC, Clément ROSSET grâce à Marco BERRETTINI, PETRARQUE grâce à Daniel LARRIEU, Robert WALSER grâce à Olivia GRANDVILLE ainsi que Pina BAUSCH nous montra comment lire SHAKESPEARE et notamment Macbeth. Autant sauf exception nos professeurs de littérature nous avaient dégouté peu ou prou de la lecture des textes littéraires autant les spectacles de danse de ces années aiguisaient nos appétits et orientaient nos boussoles vers ces pôles magnétiques. Nous avions vu May Be avec notr