open source, propriété industrielle, what about littérature ? Argumentation pour Florent GALLAIRE

open source, propriété industrielle, what about littérature ? Argumentation pour Florent GALLAIRE

Florent GALLAIRE n’aurait pas porté atteinte au droit moral de Michel Houellebecq mais porté atteinte au contrat d’exploitation de l‘œuvre dite « la carte et le territoire » par les éditions Flammarion, cependant comme monsieur Houellebecq avait oublié de mentionner, dans le contrat de cession de ses droits d’auteur de l’œuvre dite « la carte et le territoire », y avoir inséré des emprunts à une œuvre collective dite « l’encyclopédie wikipédia » produite et induisant des circuits hors de l’exploitation commerciale, il devrait être possible de considérer le contrat de cession de droits comme nul et non advenu, et les éditions Flammarion aurait pu si nous nous en tenons au seul droit se retourner vers Houellebecq et non vers Gallaire, et si nous ne prenons pas en compte les considérations liées au business et aux piles des ouvrages imprimés sur papier intitulés « la carte et le territoire » qui se trouvent à écouler chez les libraires et les supermarchés, bref les éditions Flammarion auraient pu se retourner vers Michel Houellebecq en lui demandant « qu’est-ce que c’est que ce manque total d’attention dans l’adaptation et la transfiguration du matériel qui circule déjà par ailleurs et sans nous ? » ou « tu pourrais pas faire un peu plus gaffe d’où tu copies ! ».
Bien sûr, serait-il bien raisonnable, du point de vue des industries culturelles, de ne raisonner hors des considérations liées au big business ?
Bref, une fois ces stupidités énoncées, ceux et celles qui voudraient étudier la question sérieusement s’enquiront de connaitre contenu longueur qualia des passages copiés ainsi que de la façon dont apparaissant dans le texte commercialisé afin avant que de ne prononcer un quelconque jugement ou avis, poil à la surprise partie.

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