lu dans le JDD 20 août 2017 les propos de joan SFARR au sujet d'une escroc « j'ai d'ailleurs rencontré son « protecteur » [..] il s'agit d'un des dix journalistes les plus connus en France [..] elle a une photo de sa bite. Depuis elle le fait chanter. » Je ne comprends pas : y a un format de bite qui permet de reconnaître les bons journalistes ? Pourquoi le mec a peur que des photos de sa bite soient dévoilées au XXIe siècle ? Elle ne ressemble pas aux autres bites? « Sachant que j'en ai une toute petite, plus personne ne voudra regarder mon JT », c'est cela le raisonnement ? Est-ce qu'il y a encore des personnes qui croient que le Q n'est pas une chose ridicule dès lors que regardé à froid, de l'extérieur et surtout par d'autres ?  Même Georges CLOONEY doit avoir ses moments ridicules et des photos de sa bite en berne ou qui ressemble à une bite, etc.. Just wake up people ! le ridicule ne tue plus contrairement au diesel, au fibronil, à la pollution des oceans par les plastiques, à la corruption, à DAECH, à Bachar AL ASSAD, etc...







    • Johan SFARR parle d' « usurpatrice » pas d' « escroc » …
    • Et quelle est la différence ?
    • D'après le Dictionnaire Larousse multimédia 2009 offert avec une clef USB 8 gigas nous pouvons dire que si l'escroc s'empare de quelque chose de façon malhonnête, frauduleuse, l'usurpateur s'arroge l'usage d'une chose ou d'un pouvoir appartenant à autrui.
    • L'usurpateur ne serait pas malhonnête ?
    • Ce n'est pas ce que j'ai dit.
    • Moi je dirais l'escroc a pour modèle le renard alors que l'usurpateur est une tique.
    • C'est un point de vue.
    • Ben, dans la fable, le renard usurpe bien le fromage au corbeau.
    • Ouais, mais bon, t'as déjà vu des corbeaux fabriquer du fromage, toi ? Le corbeau avait bien du prendre le fromage quelque part, non ? Et de cela personne n'en parle jamais.
    • C'est vrai.
    • Je suis étonnée par vos propos : Il m'avait semblé que l'usurpation était une grosse tendance du début du XXie siècle.
    • C'est-à-dire ?
    • Ben, les mecs et les meufs plaçaient des grosses tepu, pardon des courtisans ou des courtisanes, à des postes charnières, coordination ou direction, tepu, pardon, courtisans courtisanes, qui ensuite allaient séduire ceux et celles qui font le boulot pour leur voler leurs savoirs, leurs savoirs-faires, leurs contacts blabla ²et ensuite les jeter.
    • Tu ne peux pas voler des savoirs ou des savoirs-faires. Il faut les acquérir.
    • Oui, mais dans un monde d'artifices, tu peux faire illusion.
    • C'est faux, tôt ou tard, l'addition se présente.
    • Et pourquoi pas une soustraction ?


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