« une bande de petits cons et de petites connes privilégiées réalisent que le monde dont ils et elles profitent n'est pas viable, ce que savent déjà plein d'hommes et de femmes de par le monde depuis longtemps mais ces petits cons et ces petites connes sont tellement cons et connes qu'ils et elles continuent à dépenser de l’énergie fossile et électrique ainsi que du papier pour expliquer aux autres que leur monde de merde est de la merde en produisant des bouquins, des films, etc, ainsi malgré tout ils et elles parviennent peu ou prou à garder une position dominante et privilégiée … Ce faisant, ils et elles négligent tout à fait la guerre idéologique qui est en train de se jouer entre les conceptions démocratiques des organisations humaines et les conceptions autoritaires. »
Un conseil, chéri, tes conseils, tu les mets sur internet gratuitement et t'essayes de vivre en dépensant moins d’énergie et en polluant moins, bref en te confrontant aux questions « comment vivre ce que je dis ? » et donc « dès lors comment gagner ma vie? ». Dans 1984, Georges ORWELL décrit une « résistance » leurre organisée par les plus grands collaborateurs du régime autoritaire. Avant de se proclamer « résistant», commençons plus humblement à tenter de répondre à la question compliquée « comment vivre d'une façon qui ne me dégoute pas ? ».
question subsidiaire : Les industries culturelles ne sont elles pas devenues comme celles de l'agroalimentaire d'il y trente ans hautement toxique ?
Mini- Forum :
- tu exagères !
- La caricature a ses vertus que la vertu ignore ! Mais je persiste et signe : le vrai combat mondial se situe entre les organisations démocratiques et les organisations autoritaires. Et les autoritaires peuvent très bien se revêtir du masque du combat écologique.
- Moi, ce que je sais,c'est que si ceux et celles qui ont des privilèges y renoncent, alors il y a un espoir que la vie sur cette Terre qui est un jardin puisse continuer.
- Cratos pour tous !
- Tous pour demos foot !
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