Note technique collective en direction de François HOLLANDE
C'est
en acceptant de participer à une primaire de la gauche que monsieur
François HOLLANDE, président en exercice, est tombé dans un piège,
piège duquel monsieur Manuel VALLS l'avait prévenu au moins
indirectement en début d'année 2016 en affirmant ici ou là haut et
fort qu'il était impossible que le président en exercice participe
à une primaire. Après avoir accepté la primaire, ne pas se
représenter devenait la seule issue possible à moins d'être
masochiste et d'aimer être dindon de farces. La traîtrise, s'il y
en a une, c'est l'organisation d'une primaire à gauche pour 2017
c'est-à-dire dans le camp même du président en exercice pouvant
prétendre légalement à un deuxième mandat.
Il
ne faut pas se tromper de lecture. Une fois la primaire acceptée,
alors le jeu redevenait ouvert et il n'y avait plus de traitres mais
des candidats, des compétiteurs comme disent les sportifs.
Il
ne faut pas se tromper de traitre.
Il
est aussi possible qu'il n'y ait là pas de traitres. Il y avait une
impossibilité politique. La même qui a empêché monsieur Nicolas
SARKOZY d'être le candidat de la droite. Chacun est, peut-être, un
jour ou l'autre, un cocu de l'Histoire. Surtout pour ceux et celles
qui s'y sont crus plus malins.
L'Histoire
avec sa grande hache.
De
toutes les façons, les problématiques écologiques à venir auront
tôt fait de renvoyer tout cela à des petits problèmes de chefs
scouts. Car si monsieur François HOLLANDE dit se rendre compte
puisque désormais dégagé de la compétition à quel point la
gauche est divisée, il doit comprendre que les français assistent à
ce spectacle médiatique ridicule depuis son élection soit mai 2012
alors qu'ils les avaient élu pour qu'ils règlent leurs problèmes !
Il y a quand même un souci contemporain avec ces hommes et femmes
politiques qui confondent la tâche de gouverner un pays avec celle
de « régner » sur les blablas médiatiques ! Nous
parions que les français ne sont pas si bêtes [ne sont pas si
veaux] et qu'ils et elles vont vite se rendre compte que Marine LE
PEN en 2017 , c'est comme SARKOZY en 2007, comme HOLLANDE en 2012,
juste des vents et de la mousse médiatiques qui ne feront rien et
surtout pas avancer le schimlblick !. Est-ce qu'il y a des adultes
dans la classe politique qui aspirerait à gouverner la France ou
sommes-nous vraiment obligés de nous taper tous ces ados attardés ?
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