TATA YOYO a dit : « ouvrons la fenêtre de la salle où des personnes discutent de l'école, cela sent le renfermé, leurs mots sont usés et n'ont plus de sens mais ils et elles continuent à les utiliser et à s'exciter avec, tels des chiens de PAVLOV »

extrait du cahier de notes brouillon de tata YOYO : « APPRENDRE QUOI ? COMMENT ? AVEC QUI ? Pour faire quoi ? 
Pour quoi faire ? Pour participer à quoi ? Pour s'intégrer dans quoi ?
SELECTIONNER QUOI ? Des compétences ? Des connaissances ? 
Des possibles ? 
MERITER quoi ? Une place au soleil ? Le droit de fouetter? Le droit 
d'exploiter ? Le droit d'abuser, mentir, dire n'importe quoi ?
Si je suis bon en mathématiques, suis je un meilleur être humain que les autres ou suis-je un être
 humain bon en mathématiques ?  Pourquoi sélectionner les meilleures personnes douées pour les 
mathématiques devraient aboutir à sélectionner une hiérarchie sociale ? Pourquoi sélectionner les 
meilleures personnes en grammaire française devrait aboutir à sélectionner une hiérarchie sociale ?
Etc.. Nous avons besoin de hiérarchie dans les organisations pour qu'elles soient opérationnelles
 mais avons-nous besoin d'une hiérarchie « sociale »? N'avons nous pas plutôt besoin de sociétés 
riches de diversités et de talents et d'intérêts dans tous les domaines et les directions par des êtres 
humains coopérant les uns avec les autres ?  Etc... Penser l'école et l'éducation c'est penser la société 
, ouvrons nos cerveaux et les fenêtres ! Que ceux et celles qui pensent que l'école actuelle ne vise
 pas à conserver à la bourgeoisie sa domination sociale revisionnent « ressources Humaines » et 
« la classe », deux films de Laurent CANTET. Poil au mulet.   Ces films sont-ils dépassés ?
Réfléchir à « une société où personne ne gagnerait et ne voudrait gagner 100 fois ou plus ce que 
gagnent les uns les autres,ne serait-elle pas une meilleure société où vivre et respirer ? »

tata YoyO a gribouillé cela suite à la lecture de l'article « la sélection au mérite renforce t'elle les 
inégalités sociales , » Claude OBADIA, Libération 11 juin 2018

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