Note technique à Stéphane BERN (stéphane BERN, c'est le mec qui vend des vérandas, c'est cela?) : nous avons lu dans le journal (Le télégramme, Politique, pour la petite histoire, Anna CABANA, 4 juin 2018 ) que vous aviez le souci de « laisser une trace dans l'histoire ». C'est une noble préoccupation, à chacun son truc, son trip, son trope, sa croix. Nous voudrions toutefois attirer votre attention sur le fait que, pour laisser une trace dans l'histoire des communautés humaines, il est nécessaire que celles-ci aient un avenir où ces communautés humaines ont encore le loisir de se raconter des et leurs histoires. Nous voudrions attirer vote attention qu'en 2018 rien ne nous prouve que cela soit encore possible.

Comprenons-nous bien :  le type qui aurait sauvé une partie du patrimoine du territoire français, 
territoire qui serait ensuite englouti dans la grande catastrophe écologique et climatique ne laisserait 
alors comme aucun d'entre nous de traces dans quoi que ce soit. Il convient en 2018  de se soucier, 
conjointement à laisser une trace dans l'histoire, de travailler et de lutter pour que les êtres humains 
aient encore une et des histoires. En même temps. Libre à vous de trouver votre façon et style pour 
sortir de la crise écologique que traverse notre planète :  nous sommes pour des régimes politiques 
libérales et voudrions éviter l’avènement des fascistes et autres autoritaires qui se proclameraient 
écolos. Mais il faut faire quelque chose contre cette crise écologique. Faire vraiment quelque chose.

- Est-ce que promouvoir l'achat de vérandas peut compter comme un acte positif pour la planète ? 
- Je ne répondrai pas à cette provocation. 
 
l'article d'anna cabana dans le télégramme 

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