Un petit coup de mou, la IACUB ? Ou « Laetitia HALLYDAY n'est pas une veuve isolée contre tous, elle fait partie du clan des BOUDOU qui essaye de s'approprier (en vain) tout le Johnny HALLYDAY ! » (note technique suivi d'un forum)
Marcella
IACUB nous enjoint, nous les femmes, chronique après chronique, à
ne pas nous considérer comme des marchandises, ni notre corps, ni
nos sentiments, ni notre Q : ce en quoi nous l'approuvons, nous
sommes pour l'égalité entre les êtres humains quelque que soit
leur sexe, féminin, masculin ou hermaphrodite. Et voilà que la
IACUB veut nous parler de Laetitia HALYDAY et voilà que sa chronique
bascule dans « les feux de l'amour » ( Laeticia ou lebûcher des veuves, libération 3 et 4 mars 2018 ) :
Laetitia l'a aimé, Johnny a été heureux grâce à Laetitia,
il l'a dit plusieurs fois, et bien cela se paie en monnaie sonnante
et trébuchant ! tout ce magnifique amour, il fallait l'affirmer
à la face du monde en crachant sur tous les êtres qui avaient
constitué son monde et sa vie dans le passé, etc, blabla..
...Non, mais Oh, la IACUB ! un petit coup de mou ? Vous
vous êtes endormie ou la midinette qui sommeillait en vous s'est
brutalement réveillée sous l'effet d'un signal ? Johnny
HALLYDAY avait coutume de dire que depuis que sa belle-famille, car,
chère Marcella IACUB, Laetitia HALLYDAY n'est pas cette femme isolée
ainsi que vous la présentez, elle est la tête de proue d'un clan,
les BOUDOU, Johnny HALLYDAY avait coutume de dire que depuis que sa
belle-famille gérait son argent, il n'était plus volé :
c'était bien plus subtil que cela, ils lui avaient volé « tout »
son argent ! Just wake up Marcella ! Nous savons tous et
toutes que pleins de mecs, une fois rangés des voitures, vont dire
en public ce que leurs meufs veulent qu'ils disent, et ils le font
pour avoir la paix et pouvoir les baiser tranquillement ! Ils
faisaient déjà de même avec leurs mères ! Et nous savons
aussi également que le roman linéaire du XIXe siècle où le héros
progresse dans un récit est une illusion narrative qui masque une
plus forte complexité des êtres, de leur présence au monde, de
leurs relations avec les autres êtres et de leurs chemins dans le
temps. C'est pourquoi il est totalement abject de votre part, une
femme pourtant éclairée le plus souvent aux lumières de la raison,
il est totalement abject de votre part d'écrire une chose telle que
« Chaque individu aspire à ce qu' après sa mort soient
récompensés ceux qui l'ont rendu heureux, et non ceux qui lui sont
attachés par le sang et qui ont été leur vie durant source de
soucis et de malheur » ! Peut-être est-ce une
considération très personnelle, peut-être pensez-vous cela au
sujet de vos parents mais pourquoi en faire une généralité
partagée par tous et chacun : que savez-vous de la vie de
l'être Johnny HALLYDAY et des relations aux siens et surtout à ses
enfants biologiques et adoptés ? Nous le répétons, la
conception de l'héritage en droit français nous paraît un juste
(au sens musical) équilibre : liberté, égalité, FRATERNITé.
Car l'héritage n'est pas une simple question d'argent, celui qui
s'en va, désigne aussi la communauté de ses enfants par-delà (ici
dans notre exemple) leurs mères. Soit son propre « clan
familial » à lui, le johnny ! Et c'est ce que semble lui
refuser le clan des BOUDOU qui essaye (en vain) d'absorber pour leur
seul profit tout le corps de johnny.
Pour
ce que nous en comprenons.
Just
wake up, Marcella !
Forum :
- Et notre QI, peut-on le considérer comme une marchandise à vendre ?
- Çà n'existe pas le QI !
- Ah, bon !
- Pourquoi tu t'obstines à écrire le prénom de la dernière meuf à Johnny avec deux t alors que dans tous les journaux, ils et elles l'écrivent avec un t et un c.
- C'est un hommage à Serge GAINSBOURG.
- Moi, le truc qui m'a fait le plus rire dans la face B de la mort de Johnny, enfin selon la logique qu'il vaut mieux rire que pleurer, le truc qui m'a fait le plus rire donc c'est le texte d'un communiqué de presse rédigé par les avocats de la meuf qui a un c à la place du deuxième t, communiqué faisant dire à Jean RENO, acteur de métier, un texte qu'il a précisé dans un autre communiqué n'avoir jamais prononcé, bref, la laetitia avec un c à la place du deuxième t faisait dire à jean RENO « c'est donc pas amour, et seulement par amour, que Johnny dicta ses dernières volontés, en pleine conscience et en pleine possession de ses facultés. » !
- HAHAHAHA !
- Mais c'est horrible d'imaginer un bobard pareil !
- Euh … comment dire ? … Quand le mot « amour » qui ne connaît pas de lois se trouve dans des textes d'avocats, c'est l'obscène et le grotesque qui dominent la tonalité de la pièce qui se joue !
- Mais alors, je n'ai pas tout suivi, parce que bon j'ai autre chose à fiche, il faisait moins douze ces derniers jours, il y avait des grosses promo sur les croquettes, des forums pour l'emploi, etc. blabla. bref, Johnny HALLYDAY aurait dicté ses dernières volontés ?
- Ah, je ne sais pas.
- Quand j'entends cette expression « dicter ses dernières volontés », malgré moi, je pense à cette scène du film 1900 de BERTOLUCCI, où un des fils et sa femme jouent la comédie à un notaire qui prend la dictée de ce qu'ils disent entendre des murmures du cadavre du père allongé dans le lit par leurs soins après qu'ils l'aient trouvé pendu dans la grange. Bien sûr, le cadavre murmure de déshériter l'autre frère !
- Mais je croyais que Johnny avait produit un testament devant un notaire à las vegas.
- Los angeles, pas las vegas !
- HAHAHAHA, après les mariages à la chaine à las vegas, les testaments foireux à las vegas, hahahaha !
- Moi, je trouve distrayant ce feuilleton et m'est avis, qu'il va y avoir un gros rebondissement …
- Genre Johnny HALLYDAY n'est en fait pas mort mais il voulait savoir qui l'aimait vraiment, c'est cela ?
- Qui vivra verra !
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