Pour en finir avec la culture du branding bling-bling : Note technique au conseil d'administration du festival Art Rock de Saint-Brieuc : continuer d'organiser le festival sous le nom d'Arta Rocko, ou Artu Rocka, ou …,. le temps que ce monsieur Jean-Michel BOINET sorte de son délire et restitue la marque Art Rock au festival ! Dans les années 90 du siècle vingt, l'expression « passeurs de culture » était utilisée pour qualifier ceux et celles qui travaillaient dans les organisations dites culturelles. Force est de constater en 2018 que certains alignent leurs pratiques et leurs tarifs sur celles des « passeurs de migrants » ! Honte sur eux ou elles !
Pour
ce que nous en savons, monsieur Jean-Michel BOINET pourra toujours
essayer de vous intenter des procès pour utilisation d'un nom proche
de sa marque, il les perdra tous car il a développé « sa »
marque privée avec des fonds publics sans dire aux partenaires que
la marque lui appartenait personnellement à titre privé, c'est un
cas de délinquance astucieuse, la marque devrait appartenir au
festival car c'est l'usage comme le souligne l'article paru dans le
Télégramme du 1er mars 2018 « une pratique rare en
festival ». C'est pourquoi à sa grosse connerie de gros malin
ayant déposé la marque du festival, il faut proposer une autre
grosse connerie de continuer le festival sous un nom complétement
transformé comme ARTo Rockaut ou ARTin ROCKoup, etc...Dans le cas
d'un éventuel procès, cela devrait pouvoir se plaider ainsi avec un
bon avocat (c'est-à-dire pas un rapace de la même espèce que ce
gros malin de Jean-Michel BOINET) ! Mais à notre avis, le mec
BOINET se dégonflera avant ! Poil aux manants !
Commentaires
Enregistrer un commentaire