Note technique à Nicolas SARKOZY : « leadership » veut dire « conducteur de grand bateau ».


Comme nous avions pu le constater lors du naufrage de ce grand paquebot (Costa Condordia) au large de l'Italie dans les années 2000, il y a une crise du leadership en Occident, mais elle n'est pas celle que l'on croit. La crise est que le conducteur de grand bateau, seul maitre après Dieu, doit de par sa fonction rester à bord et partir le dernier en cas de naufrage afin de continuer à exercer et ses responsabilités et son boulot jusqu'au bout. C'est peut-être parce que Dieu serait mort, que les uns et les autres parmi les conducteurs de grands bateaux se prennent pour des maîtres, font n'importe quoi et lors du naufrage prennent la poudre d'escampette les premiers, faudrait quand même pas attendre que tout l'équipage et les passagers soient sauvés !
Le meilleur conducteur de grand bateau est celui qui permettra à l'équipage de bien mener sa tâche, de savoir ce que les uns et les autres ont à faire sans être, hors grosse tempête, en demande continuelle de direction de la part du conducteur de gros bateau. Le conducteur de gros bateau connait les cartes, la navigation avec les outils modernes mais aussi anciens. Conduire un gros bateau n'est pas un spectacle, n'est pas spectaculaire sauf en cas de naufrage qui est synonyme d'échec pour le conducteur de gros bateau.
Par ailleurs, un gros bateau étant un bobard soit une illusion constitué par l'agrégat de tous les petits bateaux des chacuns et chacunes, il est normal qu'à échéance régulière dans le temps, les conducteurs de petits bateaux aient la possibilité de choisir un nouveau conducteur de gros bateau, voir carrément un autre gros bateau. Si cela n'est pas, alors cela signifie que les équipages et les passagers sont sur une galère, exploités et abusés. Ce qui, au XXIe siècle, n'est ni concevable, ni tolérable pour un être humain.

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