Enquête sur une idéologie (suite) Analyse critique des propos de monsieur Delevoye (interview publiée dans le Journal le monde daté du 21-22 février 2010)
« Mais je ne peux que constater que l’angoisse du
déclassement augmente [monsieur Delevoye ne parle-t’il pas
plutôt de l’angoisse des personnes qui croient au classement
social ?] Sont déjà confrontés à cette réalité un
certain nombre de nos concitoyens [Monsieur delevoye veut-il dire
« un certain nombre de citoyens de la république
française » ?est-il si sûr de l’incarner (la
république française) au point de dire « nos » ?],
ceux qu’on ne connaît pas [Qui est donc ce « on » ?
M. Delevoye parle t’il de lui-même ?], qu’on ne
soupçonne pas [les soupçonner de quoi exactement ?] et
qu’on a peine à dénombrer [Ah, ouais, donc en plus du
classement, il y aura le classement du déclassement, vachement
élaboré comme truc !] formant la « France des
invisibles » [Invisible ? M. Delevoye est-il sûr du
terme qu’il avance ? Invisible à ses yeux ? à ses
pensées ? dans les médias ? Tiens, salut, tu vas bien ?
Ah ouais, tu me vois ! je croyais qu’j’étais devenu
invisible suite à mon classement dans le déclassement ! ] »
«
J’estime à quinze millions le nombre de personnes pour lesquelles
les fins de mois se jouent à 50 ou 150 euros près. [Oh, çà va,
il y a de la marge, 150 euros c’est plus du tiers du RSA ! ].
Je suis inquiet de voir que des personnes surendettées peuvent se
retrouver en plan de redressement personnel pour la deuxième ou
troisième fois parce que leurs dépenses dépassent structurellement
le montant de leurs ressources [M. Delevoye veut-il dire qu’il
est inquiet que le crédit revolving(de consommation) ne soit
toujours pas encadré en France ? inquiet des techniques
marketing de vente agressives réalisées par des vendeurs rémunérés
à la prime et ce pour faire acheter n’importe quoi à des
personnes fatiguées, déprimées ou qui regardent trop la télé
et/ou croient au classement social ?Inquiet de la répartition
des richesses produites par le travail parmi les citoyens ?Inquiet
des tentatives d' accaparement des richesses naturelles et humaines
par des firmes privées ?] »
« Des échecs importants peuvent
se produire en cours de route. Or l’administration gère des
dossiers, non des personnes dans la difficulté. [en ce qui nous
concerne, nous trouvons plutôt sain que l’administration se
contente de gérer des dossiers, M. Delevoye pourrait-il préciser ce
qu’il entend par « gérer des personnes » ? Quant
à « dans la difficulté », ces personnes se retrouvent
dans la difficulté de quoi ? de gagner plus d’argent ? De
trouver un emploi ? De se procurer de la nourriture ? De satisfaire
les désirs commerciaux induits chez leur progéniture ? De rester
éveillé malgré les flux de somnifère diffusé par les médias ?
D'assassiner les prédateurs du business mondial qui viennent frapper
jusqu'à leur porte ? Dans la difficulté par exemple de faire
revenir dans le discours de la raison l’entreprise VEOLIA par
exemple qui affirmerait mensongèrement par moult courriers par
exemple que leur père devrait à cette entreprise plus de quatre
cent euros et que ces personnes sauraient pertinemment par exemple
que c’est faux ? ]
« L’octroi des aides se fait
avec un décalage de plusieurs mois. » [nous nous avions cru
comprendre que cela était à dessein afin que les uns et les autres
et surtout les sociétés de crédit revolving (de consommation) ne
comptent pas trop dessus lorsqu’ils font leur compte (ou ne font
pas). Ce qui n’est pas complètement irresponsable.]
« L’enjeu c’est de les aider
au bon moment faute de quoi elles s’installent dans une spirale du
fatalisme, persuadées qu’elles ne sortiront pas de leur condition
sociale. » [M. Delevoye pourrait-il préciser ce qu’il
entend par « sortir de sa condition sociale » ?
s’envoyer en l’air ? aller nager dans l’océan ?
Faire une expérience de vie radicale au sein de la nature dans une
foret de haute montagne où il n’y aurait pas d’autres êtres
humains ? ]
« Je suis frappé par la
cohabitation de deux types de sociétés : l’une officielle,
que nous connaissons tous, l’autre plus souterraine qui vit d’aides
de travail au noir et de réseaux. » [M. Delevoye
pourrait-il nous donner une description de la « société
officielle que nous connaissons tous » afin que nous
comprenions mieux comment s’articule sa pensée ? ]
« L’histoire nous a montré
que le ressentiment et la peur nourrissait le populisme.[à notre
connaissance, le misérabilisme condescendant encore plus !]
Bref,
nous vous laissons continuer par vous-mêmes cette analyse critique
car cette sorte de discours nous donne de l’urticaire [serait-ce la
cause de mon lupus ?]. Pourtant, encore une question : M.
Delevoye, vous considérez-vous comme faisant partie de l’élite
plus plus de la société du classement social officiel mondial
terrien ?
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