Martine et les droits de son genre.

Martine entendait portée par des ondes radiophoniques la ministre des droits de son genre parler de la violence faite aux femmes et conjugale. Cette jeune femme avait une telle façon de parler que Martine se surprenait à éprouver le désir de la secouer en hurlant « bordel mais accouche de ce que tu veux dire ! ». Cette jeune femme avait une telle façon de parler lentement, doctement, palissement des violences en général faites aux femmes en particulier que ce qui surgissait dans l'esprit était le désir irrépressible d'exercer une violence sur cette jeune femme dont la telle façon d'évoquer les violences faites aux femmes induisait une sorte de passage à l'acte même chez le plus innocent … STOP THAT LOOP PLEASE!!!!!! Martine ne pouvait s'emp^^echer de trouver suspect l'existence d'un ministère des droits propre à son genre, elle soupçonnait une sorte de ruse pour mieux maintenir l'inégalité des considérations, pour mieux maintenir le statut de femelles n'accédant pas à la condition humaine (de malraux, quoiqu'en livre de poche), Martine aurait préféré un ministère des droits des êtres humains financés par leurs avoirs et croyait plus au suivi du dogme « liberté, égalité, fraternité » pour l'émancipation féminine qu'à l'affirmation de la différenciation des conditions (nécessaires et suffisantes). L'étonnement de Martine tournait autour de formulations telles « les droits des ^^etres féminins en particulier (de la centrale) sont-ils différents des droits des ^^etres humains en général (de gaulle )? » « les droits des êtres féminins sont-ils différents de par leur incapactié d'avoir la gaule ? » « les droits spécifiques reconnus aux femmes proviendraient-ils de la place des femmes comme objet/sujet normé possiblement normand d'un désir masculin/féminin exploité commercialement ? » « les droits spécifiques reconnus aux ^^etres humains féminins ne sont-ils là que pour mieux aménager leur place dans la baise traditionnelle hétéronorméesocialtraitre ? » Martine reconnut éprouver une sorte de grande fatigue sur toute tentative de formulation concernant ces sujets glissants en théorie cependant qu'assez joyeux en pratique à moins que l'inverse ou la réciproque et bien sûr si et seulement si sont exclus les coups du sorts, les mauvaises donnes, les chausses-trappes et les sables mouvants des conjonctures, conjectures et ordures. Sans négliger les postures et autres possibilités de contextes hors texte. Bien entendu. Néanmoins. Mainenplus.Martine et les droits de son genre. Martine entendait portée par des ondes radiophoniques la ministre des droits de son genre parler de la violence faite aux femmes et conjugale. Cette jeune femme avait une telle façon de parler que Martine se surprenait à éprouver le désir de la secouer en hurlant « bordel mais accouche de ce que tu veux dire ! ». Cette jeune femme avait une telle façon de parler lentement, doctement, palissement des violences en général faites aux femmes en particulier que ce qui surgissait dans l'esprit était le désir irrépressible d'exercer une violence sur cette jeune femme dont la telle façon d'évoquer les violences faites aux femmes induisait une sorte de passage à l'acte même chez le plus innocent … STOP THAT LOOP PLEASE!!!!!! Martine ne pouvait s'emp^^echer de trouver suspect l'existence d'un ministère des droits propre à son genre, elle soupçonnait une sorte de ruse pour mieux maintenir l'inégalité des considérations, pour mieux maintenir le statut de femelles n'accédant pas à la condition humaine (de malraux, quoiqu'en livre de poche), Martine aurait préféré un ministère des droits des êtres humains financés par leurs avoirs et croyait plus au suivi du dogme « liberté, égalité, fraternité » pour l'émancipation féminine qu'à l'affirmation de la différenciation des conditions (nécessaires et suffisantes). L'étonnement de Martine tournait autour de formulations telles « les droits des ^^etres féminins en particulier (de la centrale) sont-ils différents des droits des ^^etres humains en général (de gaulle )? » « les droits des êtres féminins sont-ils différents de par leur incapactié d'avoir la gaule ? » « les droits spécifiques reconnus aux femmes proviendraient-ils de la place des femmes comme objet/sujet normé possiblement normand d'un désir masculin/féminin exploité commercialement ? » « les droits spécifiques reconnus aux ^^etres humains féminins ne sont-ils là que pour mieux aménager leur place dans la baise traditionnelle hétéronorméesocialtraitre ? » Martine reconnut éprouver une sorte de grande fatigue sur toute tentative de formulation concernant ces sujets glissants en théorie cependant qu'assez joyeux en pratique à moins que l'inverse ou la réciproque et bien sûr si et seulement si sont exclus les coups du sorts, les mauvaises donnes, les chausses-trappes et les sables mouvants des conjonctures, conjectures et ordures. Sans négliger les postures et autres possibilités de contextes hors texte. Bien entendu. Néanmoins. Mainenplus.

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