Bataillons avec Georges Bataille ce grand adolescent
le 02 novembre 2011
Bataillons avec Georges Bataille, ce grand adolescent,
nous lisons dans l'article intitulé Michelet dans l'ouvrage intitulé sobrement par monsieur Georges Bataille « la littérature et le Mal » (!!!) (« la littérature et le malin » peut-être, la littérature et les malins, les littéraires et les tumeurs malignes, etc... Cf. l'atelier recherche de titres plus explicites quant aux œuvres en Question) bref, nous lisions ceci :
« De même que certains insectes en des conditions données se dirigent ensemble vers un rai de lumière, nous nous dirigeons tous à l'opposé d'une région où domine la mort. » Avec tout le respect que nous portons à monsieur Georges Bataille nous voudrions toutefois lui signaler que c'est précisément l'inverse à savoir « nous nous dirigeons tous vers la mort, lentement mais sûrement, consciemment ou non, joyeusement ou tristement c'est selon mais sûr » !
« le ressort de l'activité humaine est généralement le désir d'atteindre un point le plus éloigné du domaine funèbre (que distinguent le pourri, le sale, l'impur) nous effaçons partout les traces, les signes, le symbole de la mort au prix d'efforts incessants... » ce monsieur georges bataille doit être un urbain car quiconque vit à la campagne ou a un compost sait que c'est dans le pourrissement que se rejoue sans cesse le mystère de l'apparition de la vie et qu'il n'y a à priori pas d'impur ou de pur si ce n'est au regard d'un point de vue et que la beauté et la crasse ne saurait être dissociée sauf dans un monde javellisé (javertisé) monde qui ne correspond ni à la mort ni à la vie mais qui est un ersatz où règne une chose non réelle, falsifiée et écœurante, bref pour mieux résumer notre pensée disons qu'à la lecture de la phrase précédemment citée trouvée dans un ouvrage portant le nom de monsieur georges bataille sur la couverture il nous a paru évident que monsieur georges bataille n'avait jamais fait la cuisine lui-même ou foutu ses mains dans des carcasses de bêtes fraîchement abattues non industriellement et ce afin d'y extraire les abats,
« Notre désir de nous élever n'est qu'un symptôme entre cent de cette force qui nous dirige vers les antipodes de la mort » Comparer avec « notre désir de nous enivrer n'est que la joie entre mille de cette force qui nous dirige vers les chants et les danses où se chatouillent perpétuellement quelques enfants presqu'adolescents»
« L'horreur qu'ont les riches des ouvriers, la panique qui prend des petits bourgeois à l'idée de tomber dans la condition ouvrière tiennent au fait qu'à leurs yeux les pauvres gens sont plus qu'eux sous la coupe de la mort. » Là est assez bien décrite à notre goût l'angoisse de la classe moyenne devant la possibilité de sa chute sans se rendre compte qu'elle est déjà et depuis longtemps tombée par terre (c'est la faute à voltaire).
Blablabla, le reste de l'article est plus ou moins illisible ou frappé de la béance de la bénêtitude du bourgeois cherchant « l'encanaillement » blablabla l'article se conclue sur une mention d'une pratique de Michelet d'aller respirer de la puanteur lorsque en panne d'inspiration sur ces manuscrits, pratique qu'il aurait relaté dans son journal que Bataille nous précise n'avoir pas lu mais dont quelqu'un lui aurait raconté que cela y serait écrit, blabla au moins quand Baudelaire qui fait l'objet d'un autre chapitre dans cet ouvrage déjà cité et intitulé sobrement « la littérature et le mal de mer » bref quand Charles Baudelaire rencontre un petit malin qui lui raconte tout ce qu'il a envie d'entendre il ne s'y trompe presque pas relatant qu'à son retour chez lui il se met à prier en ces termes « oh dieu faites que le diable ait raison ! »
Bataillons avec Georges Bataille, ce grand adolescent,
nous lisons dans l'article intitulé Michelet dans l'ouvrage intitulé sobrement par monsieur Georges Bataille « la littérature et le Mal » (!!!) (« la littérature et le malin » peut-être, la littérature et les malins, les littéraires et les tumeurs malignes, etc... Cf. l'atelier recherche de titres plus explicites quant aux œuvres en Question) bref, nous lisions ceci :
« De même que certains insectes en des conditions données se dirigent ensemble vers un rai de lumière, nous nous dirigeons tous à l'opposé d'une région où domine la mort. » Avec tout le respect que nous portons à monsieur Georges Bataille nous voudrions toutefois lui signaler que c'est précisément l'inverse à savoir « nous nous dirigeons tous vers la mort, lentement mais sûrement, consciemment ou non, joyeusement ou tristement c'est selon mais sûr » !
« le ressort de l'activité humaine est généralement le désir d'atteindre un point le plus éloigné du domaine funèbre (que distinguent le pourri, le sale, l'impur) nous effaçons partout les traces, les signes, le symbole de la mort au prix d'efforts incessants... » ce monsieur georges bataille doit être un urbain car quiconque vit à la campagne ou a un compost sait que c'est dans le pourrissement que se rejoue sans cesse le mystère de l'apparition de la vie et qu'il n'y a à priori pas d'impur ou de pur si ce n'est au regard d'un point de vue et que la beauté et la crasse ne saurait être dissociée sauf dans un monde javellisé (javertisé) monde qui ne correspond ni à la mort ni à la vie mais qui est un ersatz où règne une chose non réelle, falsifiée et écœurante, bref pour mieux résumer notre pensée disons qu'à la lecture de la phrase précédemment citée trouvée dans un ouvrage portant le nom de monsieur georges bataille sur la couverture il nous a paru évident que monsieur georges bataille n'avait jamais fait la cuisine lui-même ou foutu ses mains dans des carcasses de bêtes fraîchement abattues non industriellement et ce afin d'y extraire les abats,
« Notre désir de nous élever n'est qu'un symptôme entre cent de cette force qui nous dirige vers les antipodes de la mort » Comparer avec « notre désir de nous enivrer n'est que la joie entre mille de cette force qui nous dirige vers les chants et les danses où se chatouillent perpétuellement quelques enfants presqu'adolescents»
« L'horreur qu'ont les riches des ouvriers, la panique qui prend des petits bourgeois à l'idée de tomber dans la condition ouvrière tiennent au fait qu'à leurs yeux les pauvres gens sont plus qu'eux sous la coupe de la mort. » Là est assez bien décrite à notre goût l'angoisse de la classe moyenne devant la possibilité de sa chute sans se rendre compte qu'elle est déjà et depuis longtemps tombée par terre (c'est la faute à voltaire).
Blablabla, le reste de l'article est plus ou moins illisible ou frappé de la béance de la bénêtitude du bourgeois cherchant « l'encanaillement » blablabla l'article se conclue sur une mention d'une pratique de Michelet d'aller respirer de la puanteur lorsque en panne d'inspiration sur ces manuscrits, pratique qu'il aurait relaté dans son journal que Bataille nous précise n'avoir pas lu mais dont quelqu'un lui aurait raconté que cela y serait écrit, blabla au moins quand Baudelaire qui fait l'objet d'un autre chapitre dans cet ouvrage déjà cité et intitulé sobrement « la littérature et le mal de mer » bref quand Charles Baudelaire rencontre un petit malin qui lui raconte tout ce qu'il a envie d'entendre il ne s'y trompe presque pas relatant qu'à son retour chez lui il se met à prier en ces termes « oh dieu faites que le diable ait raison ! »
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