Note technique (extrait) :

  [..] en 1968, existe le plein emploi, les monnaies mondiales sont peu ou prou référencées à l'or soit un truc existant dans le réel et il n'existe pas encore toute une part de la jeunesse mondiale vassalisée aux mafieux via les marché de la drogue, de la prostitution, de la précarité et des  voyages organisés vers des mondes meilleurs . Je ne crois pas du tout pour ma part à une dérégulation du marché de la violence pour faire avancer des sociétés démocratiques dans des états de droit qui sont les moins pires que les êtres humains peuvent construire sans cesse. La dérégulation du marché de la violence est un vœu de l'extrême-droite politique et des mafieux. Il ne faut pas se leurrer, et l'expérience a déjà été démontrée dans d'autres pays, lorsque l'Etat périclite, ce sont les mafias qui reprennent la main et « font la loi et la police » , et dans ce cas, les personnes ayant de l'argent réussissent toujours à se payer des miliciens pour les protéger. Nous devons travailler pour tendre vers des sociétés d'individus où les chacuns et les chacunes peuvent contribuer et aussi faire ce qui leur plait. Nous devons travailler pour que les administrations d'Etat travaillent pour l'intérêt général des individus et non pas de l'Etat. Nous devons lutter contre ceux et celles qui estiment que l'appareil d'Etat leur revient de fait et devrait travailler pour leurs propres petits intérêts.. C'est compliqué mais nous ne croyons pas que la violence soit un chemin puisqu'elle est déjà là.. Bien au contraire nous devons déminer les violences qui existent sourdement dans nos sociétés en les mettant à jour pour les désamorcer. Nous devons lutter contre les démagogues et les falsificateurs du réel, nous [..]