NOTE TECHNIQUE : ne pas confondre burkini, surimi, atoll de bikini et Gisele HALIMI.
Pour
ce que nous en avons compris, notre pays, la FRANCE, est en guerre
contre l'organisation dite DAECH dont les partisans et sympathisants
utilisent le burkini comme instrument de propagande et cheval de
Troie afin d'étendre le conflit sur notre territoire. De la même
façon qu'ils mêlent certains de leurs combattants au flux de
migrants réels fuyant les territoires de guerre. Certains appellent
cela la guerre subversive, d'autres la « guerre sale ».
C'est pourquoi, ainsi que l'a expliqué Jean-Pierre CHEVENEMENT sur
la radio Europe 1, « je
suis pour que les personnes se baignent dans les costumes qui leur
plaisent mais je respecte les décisions des maires qui ont la charge
de veiller au maintien de l'ordre public »
(grosso modo, le verbatim c'est ici). Autrement dit, sur les plages de France, de la même
façon que je ne peux me baigner toute nue ou tout nu (Cf. le film
« un gendarme à
SAINT-TROPEZ ») ,
je ne peux me baigner toute ou tout habillé(e). Nous signalons
l'existence des combinaisons de planche à voile ou de surf dont des
modèles existent avec capuche pour ceux et celles qui auraient
vraiment des problèmes personnels à se mettre en maillot de bain.
Par
ailleurs, et pour ce que nous en savons, l'ange Gabriel n'a pas dit à
Mahomet que Dieu demandait à ce que les femmes se baignent toutes
habillées ou portent des vêtements qui cachent leurs corps. A notre
connaissance, il s'agit plus d'un choix émanant d'hommes qui
préfèrent être perturbé par leur imagination qu'interpellé par
ce qu'ils voient. Ainsi, PETILLON a publié (au moins) un superbe
dessin dans le Canard
Enchaîné où l'on voit
un homme interloqué demandant à sa femme si elle sort en maillot de
bain et celle-ci de répondre qu'elle est en tenue de ville ...
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