une question de Dominique Strauss Khan (personnage comceptuel à moins qu'allégorique)au bureau politique du PS :
Le concept de flexibilité du travail nous a semblé intéressant mais permettrat'il de violer les femmes de ménage sous payé des hôtels de luxe ou auront-elles toujours la possibilité de porter plainte ? La réponse des consultants experts de l'expertise : « il n'y a pas de rapport systématique ou systémique entre l'introduction de la flexibilité dans le travail salarié et la possibilité d'abuser des salariés sans risque d'être inquiété, certaines études démontrent que c'est plutôt la flexibilité alliée à la précarité voire même à la malnutrition qui permet toutes sortes d'abus impunis. Cependant au parti socialiste nous cherchons un concept de flexisécurité qui permet ainsi aux salariés de se faire exploiter tout en gardant leur droit à la dignité. Bien sûr pourrait être réfléchi une sorte de « clause de non incident » dans les contrats conditionnant le versement des salaires et entrainant une suspension lors d'incident en l'attente de résolution ce qui de fait freinerait les plaintes de façon toute pragmatique, pour cela il faudrait travailler avec les juristes chargés de rédiger les contrats pré-rédigés introduit dans les logiciels de gestion des Direction des Ressources Humaines, Cependant nous vous conseillerons en toute circonstance même cas de force et farce majeure d'avoir recours à une sexualité dite négociée avec vos partenaires.
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