Je me suis amusée à réécrire l’interview de Nicolas BOURRIAUD publiée dans art press n° 354.
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Ne croyez-vous pas que vous inventez le terme altermoderne parce que
le postmodernisme empêche les fous littéraires d’exercer le
métier de critique d’art sans que personne ne s’aperçoive de
rien ?
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Oui, bien sûr. Dans le même temps, cela permet aussi de créer un
emballage pour l’exposition et de la conversation pour ceux qui n’y
auraient rien vu malgré le déplacement.
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Lorsque vous valorisez le concept de forme-trajet ou de parcours,
avez-vous pensé à un partenariat avec Eurostar ?
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Non, je me suis inspiré des discours circulant dans les cabinets de
recrutement.
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Ce concept de radicant n’est-il lié à votre condition
professionnelle d’immigré à Londres ?
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Oui, bien sûr, je projette beaucoup de mes expériences personnelles
sur les œuvres que je reçois.
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Le postmodernisme n’est pas mort, en somme…
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Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris le concept.
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