DE LA CRISE ECONOMIQUE,
Il
était une fois dans une grande démocratie de notre planète, des
personnes dont l’ambition politique était de se faire du fric qui
avaient réussi à se faire élire à des postes à haute
responsabilité. Ils avaient remarqué avec leurs potes qu’en
faisant marcher la planche à billet, ils n’avaient pas besoin de
se gratter la tête à imaginer des politiques économiques
puisqu’exportant leurs problèmes vers les autres pays, grande
démocratie ou démocratie s’essayant. Cela permettait à leur
grande démocratie de rester une grande puissance économique et de
se maintenir grande puissance militaire en achetant des armes et
louant des milices privées auprès d’entreprises qui leur
appartenaient.
Alors
que les économistes de notre planète discutaient à n’en plus
finir afin de qualifier la vision économique mise en œuvre par les
dites personnes, les différentes démocraties du monde voyaient
leurs populations de plus en plus maltraitées par les codes de
l’esclavage économique.
Les
dites personnes qui avaient prôné un temps la dégénérescence des
états de droits afin de booster le bien-être de leur business se
mirent à lorgner du côté des conceptions autoritaires des états
puisqu’une personne leur avait fait remarqué que faire fonctionner
la planche à billet nécessite une contrepartie qui est
l’abrutissement total des populations pour les empêcher de
rappeler haut et fort que la monnaie reste une convention collective.
La frappe de la monnaie étant un pouvoir régalien, les dites
personnes pourraient ainsi continuer à réaliser leur ambition
politique, c’est-à-dire se faire du fric, pendant encore un
certain temps.
Pendant
ce temps, les économistes discutaient à n’en plus finir afin de
se mettre d’accord sur les termes et les théories à usiter afin
de qualifier les raisons de la crise de confiance qui les étonnait
dans les fonctionnements des systèmes économiques.
Pourtant,
les peuples étaient très attachés aux fonctionnements
démocratiques et aux avancées sociales qu’ils leur permettaient
et promettaient . Ils se mirent à réclamer l’abolition des codes
de l’esclavage économique.
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