Cahier de notes de l'homme compressé :

il y a des trucs tout de même qui ne sont pas crédibles dans les ouvrages de Gérard De Villiers. Dans sas marathon à Spanish Harlem, malko Linge baise une femme dans un lavabo à l'occasion d'un vernissage de tableaux représentant des personnages « entre la bande dessinée et jérome Bosch », puis au vu, de la silhouette de la dame (qu'il vient de baiser et qui n'est pas catherine millet) il dit soupçonner celle-ci de porter des implants mammaires. Mais il vient de la baiser ! il devrait savoir si oui ou non elle a des implants mammaires, non ? Ou alors il travaille sans les mains ? Je n'aime pas ce genre de faute d'inattention de la part d'un auteur parce qu'après on n'adhère plus du tout ni à l'intrigue, ni au récit, tout retombe comme un soufflé raté et nous nous retrouvons à nouveau face au néant et sa bouche d'ombre.

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