Note technique d' Albert LONDRES
Nous
avons entendu et lu à plusieurs reprises dans des médias le terme
de « victime des panama papers » pour qualifier des
personnalités qui ont du démissionné ou mangé leur chapeau suite
à la révélation de leur compte off shore ou autre montage
financier légal mais vomisable et nous jugeons l'usage du terme « victime »
impropre. Ces personnes ne sont pas des victimes et si il y a des victimes à déplorer dans ces affaires
d'argent placé légalement ou pas dans des paradis fiscaux révélé ou non, nous
pointerions plutôt vers les enfants des écoles publiques
désargentées ou vers les personnels et patients des hôpitaux
publics ou vers les policiers et policières ayant des voitures en
panne ou du matériel informatique suranné ou vers les personnels
judiciaires n'ayant pas de papier pour imprimer ou pour se torcher,
etc...
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