Le truc qui m'a mis la puce (electronique) à l'oreille,

[nous avons lu l'article « Richard Descoings, ouvreur de brêches » paru dans Libération du Jeudi 5 avril 2012. ]

« … Aujourd'hui si certains trouvent le dispositif trop limité pour changer le profil des élites, touts reconnaissent qu'il [Descoings]a ouvert Sciences Po. Des étudiants blacks et beurs, ainsi que des jeunes issus des petites classes moyennes qui n'auraient jamais intégré Sciences Po , y cotoient des enfants de cadre sups. « On les remarque , souligne un prof, leur écrit n'est pas aussi bon, mais ils ont la tchatche et de la curiosité . Et cela fait du bien aux autres éléves sortis des « grands » lycées avec la mention « très bien » au bac. »... »
Ah ben voilà, nous comprenons mieux maintenant il s'agit en fait d'un dispositif destiné à « enrichir » les expériences des enfants de cadre sup ou après « j'ai un ami juif » et « j'ai un ami musulman », « j'ai aussi un ami issu des CSP moins moins »

[nous avons entendu à la radio un monsieur évoquer la mémoire de son ami Richard Descoings]

et ce monsieur expliquait que monsieur Richard Descoings avait réussi à faire de Sciences Po une marque. Euh, nous avions compris que Sciences Po était une école formant la jeunesse à se former une et des consciences quant au monde contemporain. Et que diantre sera vendu sous la marque « sciences po » : des prêt à penser ou des prêt à leurrer ?

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