Nous nous sommes amusées à réécrire l'article "la force de l'art 02" signé Catherine FRANCKLIN et publié dans art press 358, TD rewriting.



à l'opération vide-grenier de 2006, a succédé la petite boutique de 2009.
L'effet de sanctuarisation des propositions par la scénographie de Philippe RAHM possède un avantage majeur puisque révélant les oeuvres fortes et les oeuvres faibles. L'exposition se révèle alors telle qu'elle est : un objet modeste légèrement sous-dimensionné quant à la possibilité et sérieusement rétréci quant aux ambitions que ces dernières décennies y avait associé.
Il est saugrenu pour une exposition d'oeuvres plastiques d'endosser le titre enflé de "triennale de l'art en France" .
Ainsi sorties du flux tintamarre bruyant concepts de marketing culturel communicationnel de salon chic tic choc toc, les oeuvres présentées, une par une, se donnent à voir dans leur totale incongruité, dans leur totale idiotie.
Les oeuvres dégagent alors quelque chose de solennel tandis qu' on les découvre alors que l'absence d'oeuvres de certains objets présentés se montre également. Ainsi les commissaire ont peut-être trouver un moyen scénographique de dégager la force de chaque oeuvre en tant qu'unité en les isolant des parasites communicationnels  que des conceptions telles
la force de l'art peuvent véhiculer.
L'exposition est rappellée ici telle la simple et immense possibilité de voir des oeuvres; cette exposition, nous l'espérons entérinera l'enterrement progressif des ambitions wagneriennes des commissaires-auteurs d'exposition.

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