EN 2010, nous disions ceci (extraits) :
Le 15 juillet 2010.
Pastiches (sur l’air de Déshabillez-moi)
Désynchronisez-moi,
De toutes ces connes
Qui font carrière dans la com
Désynchronisez-moi,
N’ayons plus à entendre
L’inanité novlangue
Désynchronisez-moi,
De toutes ces connes
Complètement atones
Désynchronisez-moi,
De l’ordre économique,
Retour du politique
Désynchronisez-moi,
Du blabla communicationnel,
Esthétique de nos fesses relationnelles
Désynchronisez-moi,
Des fliquettes déguisées en mère
Supercherie du blabla care
Désynchronisez –moi,
Qu’il y ait un gros bug
Dans les fichiers qui m’tuggent
Désynchronisez-moi,
Et vous
Débranchez tout !
Lundi 19 juillet 2010
Exercices de scepticisme appliqués au concept véhiculé de « care » , extraits :
Dire que ce sont les personnes subalternes qui prennent « soin » des autres est un préjugé social, il pourrait être dit que l’élite « sociale » sont précisément les personnes qui prennent soin du tissu social.
Le 16 Juillet 2010 :
Notes techniques pour commission sur les débats sur le téléchargement :
Il faudrait bien séparer différentes problématiques :
la rémunération des personnes par qui passent et dont résultent les œuvres circulant,
la diffusion et la circulation des œuvres,
le business des industries culturelles.
Une fois ces trois axes dégagés, alors les discussions sur le téléchargement des œuvres sur internet peut être mieux mené.
Ainsi, la rémunération des personnes par qui passe et dont résultent les œuvres circulant peut être rattachée à la problématique de la rémunération du travail des êtres humains, notamment depuis qu’il est su que la révolution de la rationnalisation du travail et de l’emergence de concept comme « la rémunération à la tâche » aurait surtout été une catastrophe ayant failli éliminer tout ce qui faisait la circulation, tout ce que rajoutait chaque humain singulier pour s’approprier malgré les phénomènes d’industrialisation son travail journalier. Ce qui permettait à chaque être humain de préserver sa part sans en être systématiquement spolié.
Etc, …
le volume III d'au blog § les fous littéraires est disponible là
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