Le journal de la femme expérimentale
Jeudi
Je parlais à quelqu'un et n'entendait pas ce que cette personne me disait , je lui demandais de répéter lorsque je me réveillatatûmes, sortant de ce rêve cauchemard, et entendit une voix me dire "l'intellect est mort, vive le chef !" Présentant une tentative de conditionnement psychique, je m'empressahûtes de faire quelques roulades sur le dos, quelques excercices de gymnastique puis me concentrahûtes sur des activités nécessitant une forte attention (faire le ménage, faire des personnages en papier mâché, etc..)et l'emprise s'effaça, et la phrase fût désactivée.
vendredi
nous nous promenions lorsque nous croisâmes ou croisâtes à moins que croisatûmes,bref nous nous promenions lorsq'une petite fille et sa maman vint non pas à notre rencontre mais par hasard sur le chemin dans le sens opposé.La mère nous salua, nous répondîmes à ce salut puis la petite fille nous regarda et sa beauté nous frappa:nous dîmes alors presque malgré nous"Oh mais tu es une princesse !"
Et la mère dit"Oh mais c'est surtout une grosse coquine !" Outre le fait que j'eus l'impression d'être face à un pédophile caché dans le corps d'une mère, je reprimais une envie subite de dégueuler et dit bien que nous sentant si fatiguée et subitement usée "elle est surtout une princesse" et ce pour que cela s'inscrive quelque part dans la mémoire de la petite fille. Ne m'étant nullement arrêtée pendant toute la scène, je dus ainsi tourner ma tête vers mon horizon pour reprendre mon chemin et ce faisant la pensée selon laquelle reine ou catin reste deux catégories de fantasme masculin pour le devenir femme. [dans les épisodes précédents] [dans les épisodes contigües]
Je parlais à quelqu'un et n'entendait pas ce que cette personne me disait , je lui demandais de répéter lorsque je me réveillatatûmes, sortant de ce rêve cauchemard, et entendit une voix me dire "l'intellect est mort, vive le chef !" Présentant une tentative de conditionnement psychique, je m'empressahûtes de faire quelques roulades sur le dos, quelques excercices de gymnastique puis me concentrahûtes sur des activités nécessitant une forte attention (faire le ménage, faire des personnages en papier mâché, etc..)et l'emprise s'effaça, et la phrase fût désactivée.
vendredi
nous nous promenions lorsque nous croisâmes ou croisâtes à moins que croisatûmes,bref nous nous promenions lorsq'une petite fille et sa maman vint non pas à notre rencontre mais par hasard sur le chemin dans le sens opposé.La mère nous salua, nous répondîmes à ce salut puis la petite fille nous regarda et sa beauté nous frappa:nous dîmes alors presque malgré nous"Oh mais tu es une princesse !"
Et la mère dit"Oh mais c'est surtout une grosse coquine !" Outre le fait que j'eus l'impression d'être face à un pédophile caché dans le corps d'une mère, je reprimais une envie subite de dégueuler et dit bien que nous sentant si fatiguée et subitement usée "elle est surtout une princesse" et ce pour que cela s'inscrive quelque part dans la mémoire de la petite fille. Ne m'étant nullement arrêtée pendant toute la scène, je dus ainsi tourner ma tête vers mon horizon pour reprendre mon chemin et ce faisant la pensée selon laquelle reine ou catin reste deux catégories de fantasme masculin pour le devenir femme. [dans les épisodes précédents] [dans les épisodes contigües]
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