Les mythologiques

je rencontrai une fois le frère de mon père, il était juché  sur son tracteur. Il dit qu’il viendraît dîner le soir au poyet chez Nelly leur sœur, de mon père, de son frère et de ses soeurs. Je fus à sa table, il mit beaucoup de poivre dans la fondue et était étonnamment vivant. Il prit une seule fois des vacances dans sa vie, il partit à la Martinique ou en Guadeloupe. Il prit un bain de mer et fût foudroyé d’une crise cardiaque. Lorsque mon père apprit la nouvelle, il resta une journée assis dans le noir. Puis lorsque nous rentrâmes de promenade avec ma sœur et ma mère, j’allais le voir, il se leva et dit très fort « je n’irais pas à l’enterrement ».
Mon père et son frère se parlait peu, ne se semblait pas se ressembler, pourtant il étaient les deux fils héritiers parmi une tribu de douze mais sept des parties concrètes du même homme, leur propre père. De là, aurait eu lieu à moins que non une guerre imaginaire bien que peut-être réelle pour le recouvrement des parties parmi les douze mais sept. Pourtant nous disent les sages la nature ne se porte heureusement bienveillante que parmi un concret imaginisant ou un imaginaire concrétisant.

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