« Les mythologiques (suite).
La sœur de ma grand-mère Marie était
,dit la légende, une femme en avance sur son époque, elle fumait,
allait dans les cafés et pissait debout (à l’époque, les
culottes des femmes n’étaient pas cousues à la fente). Puis elle
eut un chagrin d’amour et devint carmélite. Un jour de
déplacement, elle fit un détour et alla voir la maison de son
enfance. Elle écrivit à sa sœur Marie combien d’émotions
l’avaient alors submergées, combien submergées d'émotions avait
été. Elle apprit alors que son courrier était lu par les mères
supérieures qui lui en firent le reproche : garder des liens
avec son passé affectif n’était pas conforme à son engagement,
auprès du Christ, le fils de Joseph et Marie, Marie la mère
de Dieu et non point sa soeur, bien que le christ soit le fils
de Marie bien que Joseph parce que Dieu.
Bref, Nous la vîmes, notre grand tante, femme excentrique alors se trouvant dans son couvent où nous avait conduit Madeleine, notre tante, fille de Joseph et Marie,Madeleine dont le véritable prénom de Marie-Madeleine nous était inconnu à l'époque, et donc, notre grand tante, dans son couvent, au travers d’une grille de bois fort épaisse où nous vîmes à peine son visage sous de grosses lunettes.
Lorsqu’elle passa, notre mère, la femme de notre père, le frère de son frère et de ses soeurs bien que l'oncle de leurs enfants, nos cousins, cousines et donc le mari de leur tante, notre mère, donc, alla à l’enterrement. »
Bref, Nous la vîmes, notre grand tante, femme excentrique alors se trouvant dans son couvent où nous avait conduit Madeleine, notre tante, fille de Joseph et Marie,Madeleine dont le véritable prénom de Marie-Madeleine nous était inconnu à l'époque, et donc, notre grand tante, dans son couvent, au travers d’une grille de bois fort épaisse où nous vîmes à peine son visage sous de grosses lunettes.
Lorsqu’elle passa, notre mère, la femme de notre père, le frère de son frère et de ses soeurs bien que l'oncle de leurs enfants, nos cousins, cousines et donc le mari de leur tante, notre mère, donc, alla à l’enterrement. »
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