we can be heroes everyday. Almost. Nearly.Yes.

Nous ne voyons pas pourquoi la suisse et les suisses devraient avoir honte et non pas les etats-unis d'amérique du Nord qui n'ont pas levé en 2009 le mandat d'arrêt concernant Roman POLANSKI. Respecter le droit international est aussi un moyen pour les états de droit de renvoyer chacun à ses propres hypocrisies et de faire un point sur les moeurs. Ainsi, si nous étions Roman POLANSKI, afin de donner un sens à ce procès, nous ne nous laisserions pas enfermer dans le rôle du méchant violeur mais nous interrogerions l'exploitation de la sexualité naissante d'une jeune adolescente par sa mère (qui la faisait travailler comme mannequin) , interrogation qui, plus de trente ans après les faits, trouverait un vif écho dans nos sociétés contemporaines où l'exploitation des sexualités adolescentes est quasiment érigée en système par les industries culturelles.

(suite aux propos de Sieur Thibault diffusés sur les ondes radiophoniques de la radio france culture en la date d'hier dans le Rendez-vous de Sieur laurent Goumarre ) Nous estimons philosophiquement plus fécond pour ..la Cité.. l'usage du vocable emprunté aux constructions juridiques d'"oeuvres de l'esprit". Plus efficient et moins parasité qu' "oeuvre d'art", le vocable d'"oeuvre de l'esprit" permettant une compréhension intuitive plus aisée, l'expérience ordinaire enseignant assez rapidement aux uns et aux autres parmi les esprits libres ou s'exerçant, qu'il se trouve des esprits forts, faibles, subtils, épais, inspirés, laborieux, complexes, simples ou simplifiés, collectif ou singulier, référencées explicitement ou implicitement, construit, déconstruit, dévasté, intermittent, incorporé, révélé, etc...Ainsi  peuvent être évités les "artificiels" débats de qualifications en "oeuvres d'

Génial votre documentaire sur « la souffrance des salariés » : ce qui nous a étonné c’est que lorsque les salariés lisent des documents de management qui délivrent des messages de grand ésotérisme de cuisine, ils ne sont pas pliés de rire des inepties qu’ils y lisent : « la vallée du changement » et autres fadaises. Si nous étions syndicaliste, nous attaquerions sur ce terrain : - Est-il vraiment possible d’une part de rationnaliser le travail et de l’autre part de gouverner les humains par de telles inepties irrationnelles (même les contes  pour enfants ou pour adulescents sont plus complexes) ? ou alors – Chaque salarié a droit à garder sa part d’irrationnel pour sa vie personnelle et privée, c’est pourquoi nous demandons un gouvernement du travail par la raison (genre touche pas à mon irrationnel !), ou alors – les nouvelles technologies permettant à chacun d’être autonome sur son travail, nous souhaitons passer à la démocratie économique, au feu les managers et les coachs !, e

« quant à nous, nous croirons que le fascisme et le nazisme politique seront définitivement éradiqués lorsque par exemple l’argent utilisé à nous vendre de la merdre sera utilisé pour éradiquer la faim dans le monde et quand par exemple, les êtres humains travailleront une à deux heures par jour (annualisable) pour les corvées qu’induisent la vie en société et le reste du temps feront comme bon leur semble de faire, proposer ou pas. Nous conseillons la vision du film de marcel OPHULS sur Klaus BARBIE très éclairant sur le non fantasme quant aux nazis et sur ce que signifiait devenir un dignitaire du régime nazi dans le parcours individuel d’une personne opportuniste en quête de reconnaissance sociale et de biens matériels, dès lors que cesse d’être agitées la marionnette d’Hitler, et des grands récits de l’Horreur organisée, sur le théâtre fantasmatique des uns et des autres  Croire que le fascisme et le nazisme politique ont quelque chose à voir avec la recherche de la pureté

« Nous avons certainement plus certainement plus de respect pour les robots que pour les ex personnes dressés tels des chiens de Pavlov à réagir à des mots clefs et à recouvrir de textes niais des messages destinés à réveiller la complexité et la diversité face à l'hébétude du fun. Nous qui vivons en France et nous exprimons en français n’ignorons pas qu’un monument de notre culture vivante orale et écrite est le « roman de renart », écrit et diffusé par des moines au XII e siècle de notre ère, série de fabliaux comiques où Goupil, renart de son espèce, s’amuse à humilier le loup.  Les gros petits et grosses petites malins malines tombent de trois trappes et perdent leur monture. »

« L’étranger arriva aux portes de la Cité Lointaine. -          D’où viens-tu ?, lui demanda le Sphinx -          D’Europe, lui répondu l’homme. -          Et qu’y fais-tu ? -          Je fais partie de l’élite, répondit fièrement l’homme. -          L’élite, demanda le Sphinx, en fronçant les sourcils, l’élite de quoi ? -          L’élite sociale. -          Voilà une bien singulière façon de répondre à la question de savoir ce que tu fais en Europe. Et cela consisterait en quoi de faire partie de l’élite sociale ? -          Et, bien, l’élite sociale ce sont les postes à responsabilités ou les postes à influence et qui dirigent et influent sur le reste de la société. -          Quelle langue parle-tu ? et dans quel monde crois-tu vivre ? Es-tu aussi ignorant et imbécile que ce tu laisses paraître en parlant ? L’homme fut ébranlé dans ces convictions. N’avait-il pas fait tout ce qu’il fallait faire pour en être arrivé où il était. N’avait-il pas

Phrases attribuées à M. HORTEFEUX. « Allez fissa, sors de là ! dégage d’ici, je te dis, dégage ». Voilà une phrase que nous avons déjà entendu prononcé à notre intention : nous ne sommes pas algériens et la personne les prononçant n’était pas un soldat français. Cette phrase est une expression française d’un registre courant, traduisant ou exprimant sans doute peut-être d’abord la haine ordinaire de celui ou celle qui l’énonce envers celui ou celle à qui elle est prononcée, avant d’exprimer une référence à un sentiment de haine construit et organisé envers tel ou tel groupe.Non ? « Si vous rêvez d’une société idéale dans laquelle il n’y aurait que des citoyens honnêtes, propre et…, et s’agissant des immigrés légaux, que ça soit exclusivement des immigrés légaux avec des papiers, la vérité c’est que c’est un combat permanent. » Monsieur HORTEFEUX parle un français de registre populaire avant le surmoi du politiquement correct. Sera remarquée « la société idéale de citoyens

Un jour, nous avions lu dans un magazine que Jeff KOONS as a people était en baisse dans la bourse des valeurs des peoples parce qu’il avait oublié de verser sa pension alimentaire et le magazine de plaindre le môme et de blâmer le père. Ah, oui, quelle honte ! c’est très grave, le pauvre enfant ! il aurait pu lui arriver pire comme par exemple avoir à devenir adolescent en sachant que presque tous les camionneurs d’Europe se sont branlés sur des effigies d’une représentation de sa mère ou qu’une représentation de ses parents en train de faire l’amour (et donc peut-être de le concevoir) siège en porcelaine dans le salon d’imbéciles, adolescent auquel un psychologue patenté et bien payé expliquera « mais non, mon garçon, c’est juste une représentation de vos parents en train de baiser, cela n’a aucun rapport avec vous, ne vous faîtes pas de mal inutilement. » Ah, oui, c’est vrai, pauvre môme à qui le père oublie de verser la pension alimentaire !

Mon grand-père participait à toutes sortes de concours de nouvelles et de textes littéraires. Mon père me raconta que son père disait souvent qu’untel ou untel  lui avait volé ses idées. Mon père me raconta aussi alors qu’un jour, avec ses sœurs et frères, ils rentraient en charrette ( ?), leur père, qui avait un peu bu, arrêta la charrette, se leva et, toisant les Bois, dit : « Dame Blanche, ô Dame Blanche, montre-toi si tu existes ! ». Mon père m’a souvent dit que son père avait une sœur qui était morte jeune de la grippe espagnole. Mon grand-père faisait des fugues, il disparaissait plusieurs jours puis revenait. Une de mes cousines a écrit un ouvrage sur notre grand-père. Alors qu’elle était en train (de travailler à l’ouvrage sur notre grand-père), elle m’expliqua, à l’occasion d’une réunion familiale, qu’elle avait trouvé un texte étonnant parlant de gitans et des Saintes-Maries-de-la-Mer. Elle s’étonnait des descriptions et se demandait si notre grand-père y avait

Le père de ma grand mère maternelle était comptable dans une cidrerie. Il jouait (aux cartes ? à la roulette ?) et volait pour ce faire dans la caisse. Lorsque les patrons s’en sont rendu compte, ils ont proposé à mon arrière grand-mère (l’une de mes) de devenir leur gouvernante à vie en contrepartie d’ « éviter le scandale ». Ce que mon arrière grand-mère (l’une de mes) accepta. Le père de ma grand-mère maternelle refait surface lorsque ma grand-mère a seize ans. A cette époque, elle travaille comme dactylo chez un notaire. Une de ses collègues qui cherchait un mari a répondu à une petite annonce passée par un marin qui se cherche une épouse et a demandé à ma grand-mère maternelle de rédiger les lettres car elle sait mieux écrire . De l’autre côté de la correspondance, mon grand-père rédige les lettres du marin qui a passé la petite annonce pour la même raison : il sait mieux écrire . Des marins, entendez des militaires. Lorsque les deux collègues de mes futurs grand parents  déc

Dire « une personne sans papier est une personne sans droit » est un abus de langage, disons plutôt « il serait plus facile dans une société un peu arriérée pour le barbare sadique qui sommeille en presque chacun d’abuser les droits d’une personne dépourvue de papiers administratifs en règle » car comme nous le rappelle la modernité politique énoncée dès 1789 et reprise en 1948 « les êtres humains sont libres et égaux en droit » et non pas « les êtres humains sont libres et égaux en droit à la condition que leurs papiers administratifs soient en règle. » et donc de renvoyer les barbares sadiques qui sommeille en presque chacun  s’estimant en droit d’abuser les droits des personnes qui n’ont pas de papiers administratifs en règle à leur problèmes de barbares sadiques qui n’auraient pas encore trouvé au XXIe siècle de canal privé pour exercer leur penchant en dehors de leurs activités professionnelles dans l’espace public (ce qui serait quand même un comble avec tout le développ

«  les couverture des livres étaient recouvert de papier marron [pour qu’il n’y ait pas de texte à lire pour les esprits qui passaient par là ?], Il n’y avait pas d’étiquettes, de mode d’emploi, les flacons étaient en verre, les boites en métal, peut-être des étiquettes avec juste les noms désignant les matières. n’existaient pas alors les envahissantes logorrhées des fictions industrielles et informatiques. »

Un jour, des femmes furent fatiguées d’être exploitées par les hommes. Elles allèrent voir des sorcières qui les reçurent et les aidèrent, car les sorcières ont bon cœur. Mais ces dames se crurent devenues malignes et oublièrent leurs dettes envers les sorcières. C’était bien mal connaître le pourquoi des sorcières et de ______. N’est pas sorcière qui veut. Par ailleurs, un homme, inspiré par les dieux, écrivit : "il arrive toujours des moments dans la vie où l'on n'a plus guère envie ni de se faire enQler, ni d'enQler soi-même, et ce même si l'on est un inverti phoque, c'est pourquoi ce projet de société dit de la mondialisation guidé par le "tu enQleras bien ton prochain comme toi-même" connaît actuellement une crise profonde parce que ce projet reste limité dans son ambition contrairement à ce que quelques jouisseurs de première vue avait pu croire à prime abord [à ce que quelques jouisseurs à première vue avaient pu croire de prime abord]