Le truc que je ne comprends pas

"coincées entre la peur de la chute et le désir d'élévation, elles ont su maintenir leur position tout au long de ces dernières decennies, au terme d'une compétition sans merci pour les statuts professionnels les plus protégés, les quartiers de résidence les plus sûrs et les diplômes les plus recherchés." in "les nouvelles classes moyennes" de Dominique GOUX et Eric MAUPIN (Seuil, la république des idées, 120 pages, 11 euros et 50 centimes) cité par Jean-Marie DURAND dans les Inrockuptibles (Nota Bene : nous n'avons pas encore eu le loisir de lire le dit bouquin parce que d'une part nous le croyions beaucoup plus onéreux, que nous nous sommes fait repéré à lire debout dans les librairies, que nous n'avons pas vu ce livre sur les rayonnages des bibliothèques que nous arpentons paradoxalement majoritairement pour des connexions internet et que même pour onze euros et cinquante centimes, il y a tellement d'autres livres que nous souhaiterions lire sans compter les poulets rotis, les gigots d'agneau et les steaks saignants que nous désirerions avaler, etc..)

Soyons sérieux : La phrase précédemment citée et apparaisant en principe en italique dans ce texte-ci qui a de la peine à rester concis, et concentré sur l'idée, bref apparait nettement le caractère profondément réactionnaire des dites classes moyennes dans la phrase décrivant les classes moyennes et signé par les auteurs en principe non littéraires soit dominqiue GOUX et Eric MAUPIN et nous croyons qu'ils ne se sont guère pris les crayons dans le chauffe-plats (ou qu'ils n'ont pas pris le chauffe-plat pour un taille crayon ) [tu pourrais arrêter de digresser et te concentrer sur l'idée s'il te plait ?]
Le caractère profondément réactionnaire des classes dites moyennes qui non seulement croyent aux hierarchies sociales (et non à la divison sociale du travail) mais ils vont jusqu'à se battre pour y avoir de bonnes places (Nathalie Baye dans ce film génial de Claude GORETTA dont le titre m'échappe et où joue également Jean-Luc BIDEAU).
Bref pour pasticher le think tank Terra NOVA, notre thank pink préconise de tout simplement ignorer les classes moyennes : elles sont stupides comme des puits sans fond (les puits ayant comme chacun le sait des fonds trés trés solides), elles pratiquent le racisme social et elles veulent s'éléver sans que nous ne comprenions bien où et contribuent à névroser leur progéniture tout en leur transmettant une pensée de merdre sur l'existence de "classes supérieures".

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