Il y a un an, nous écrivions ceci :
Nous avons lu l’article intitulé « Musiques sans frontières » écrit par monsieur Dusapin publié
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Nous avons lu l’article intitulé « Musiques sans frontières » écrit par monsieur Dusapin publié dans le journal Le Monde daté du 29 et 30 Aout 2010.
Et nous nous sommes dit « si ce mec y parle de musique, alors nous voulons bien être pendu »
Par exemple (parce que franchement c’est tellement gros comme plan « le mec habitué à parler aux personnes qui travaillent dans les ministères ou qui organisent des dîners et qui n’y comprennent que dalle » qu’il nous amuse moyennement de critiquer sa prose) :
« Avec la mondialisation, les jeunes compositeurs (ou autres artistes) sont en face d’une réalité beaucoup plus complexe que celle que j’ai connue à mes vingt ans. [qu’est-ce que le concept de « mondialisation » imposé par les milieu de la finance internationale vient foutre là-dedans ? Que les environnements musicaux et sonores ne soient pas les mêmes, là d’accord, que la musique enregistrée a envahi et tenté de coloniser de très nombreux espaces publics, d’accord, que les oreilles occidentales sont plus accoutumés à des sonorités considérées auparavant comme non occidentales d’accord, que les oreilles et la mémoire des sons des jeunes compositeurs soient ainsi plus complexes et de registre plus large, d’accord, mais « la mondialisation des transactions financières qui essayent d’imposer leurs lois à tous les autres secteurs de la vie des humains », là franchement nous ne voyons pas le rapport avec la création musicale ! ].Il n’est plus possible d’appréhender une conscience (fût-elle seulement musicale )[ Ah quand même ! et pourquoi « seulement », nous ne savons pourquoi nous avons l’impression que ce mec ne croit pas vraiment à la puissance de l’art musical, les arts, leurs pratiques et leurs œuvres comme mode de connaissance, d’appréhension et de rapport au monde ] du monde qui soit binaire. » [nous ne savons pas vraiment mais il nous semble que le monde « binaire » c’est un truc dont il n’est pas possible d’être conscient puisque c’est un truc erroné, un truc pour pouvoir ranger dans des cases, les bons, les méchants, les hommes, les femmes, etc, blabla, et que même la bible qui ne date pas d’hier nous a alerté sur le principe de la trinité et que dans le solfège il y a peut-être au moins sept notes, nous ne comprenons pas bien ce que veut dire « musicalement » ce monsieur en parlant d’une conscience d’un monde binaire, même la disco ce n’était pas binaire ! ]
« Quand un art est incapable d’inventer une émotion nouvelle –et là ce n’est pas de progrès qu’il s’agit .. » [Là on comprend mieux le hiatus : ce monsieur ne cherche pas à restituer des émotions, des sensations, des sentiments, des expériences, des cheminements, etc… ce monsieur a la prétention de inventer des émotions nouvelles, alors effectivement il ne s’agit pas de progrès il s’agit d’un cas de grossssses connnnnneries, « çà va chéri t’as inventé combien d’émotions nouvelles aujourd’hui ? ben la brouette egyptienne, la kalachnikov mexicaine, le bruit de l’eau s’il y en avait sur mars, etc .. » Cela nous rappelle une anecdote : un chorégraphe américain de qualité europeanophile nous avait raconté qu’il avait donné des cours en Russie ou à des danseurs russes quelque part en Europe quelques années après la chute du mur de Berlin et des échanges entre l’Est et l’Ouest : les danseurs russes qui avaient été privés de contact avec la danse moderne et ses évolutions étaient très avides de rattraper l’histoire de leur art ; le chorégraphe américain leur avait demandé lors d’une pause s’ ils connaissaient des chorégraphes contemporains. Ils répondirent « Merce Cunnigham et Karine Saporta ». Cette histoire nous faisait hurler de rire puisque si Merce Cunningham est effectivement quelqu’un à connaitre et « fréquenter » pour son apport singulier et irriguant aux arts de la danse, madame Saporta a surtout conçu des « spectacles avec de la danse » que certaines mauvaises langues pourraient dire non franchement inspirées par la danse du gai savoir, bref ce que cette anecdote racontait était que madame Saporta avait été envoyé en Russie après la chute du mur de Berlin et des échanges entre l’ Est et l’ Ouest par des personnes complètement irresponsables du point de vue des corps dansant et par ailleurs travaillant à l’AFAA, négligeant d’y envoyer par exemple une des plus grandes pédagogues « françaises » dans l’art de la danse et des corps dansant, we mean, l’immense madame Odile Duboc, of course »
Bref, Le journal pourrait-il nous éclaire ce que pense ce grand artiste de la photographie, monsieur François-Marie BANIER, de l’influence de la mondialisation des transactions financières et des îles de la finance off shore sur l’art de la jeune création dans l’art de la photographie ? ]
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Nous avons lu l’article intitulé « Musiques sans frontières » écrit par monsieur Dusapin publié dans le journal Le Monde daté du 29 et 30 Aout 2010.
Et nous nous sommes dit « si ce mec y parle de musique, alors nous voulons bien être pendu »
Par exemple (parce que franchement c’est tellement gros comme plan « le mec habitué à parler aux personnes qui travaillent dans les ministères ou qui organisent des dîners et qui n’y comprennent que dalle » qu’il nous amuse moyennement de critiquer sa prose) :
« Avec la mondialisation, les jeunes compositeurs (ou autres artistes) sont en face d’une réalité beaucoup plus complexe que celle que j’ai connue à mes vingt ans. [qu’est-ce que le concept de « mondialisation » imposé par les milieu de la finance internationale vient foutre là-dedans ? Que les environnements musicaux et sonores ne soient pas les mêmes, là d’accord, que la musique enregistrée a envahi et tenté de coloniser de très nombreux espaces publics, d’accord, que les oreilles occidentales sont plus accoutumés à des sonorités considérées auparavant comme non occidentales d’accord, que les oreilles et la mémoire des sons des jeunes compositeurs soient ainsi plus complexes et de registre plus large, d’accord, mais « la mondialisation des transactions financières qui essayent d’imposer leurs lois à tous les autres secteurs de la vie des humains », là franchement nous ne voyons pas le rapport avec la création musicale ! ].Il n’est plus possible d’appréhender une conscience (fût-elle seulement musicale )[ Ah quand même ! et pourquoi « seulement », nous ne savons pourquoi nous avons l’impression que ce mec ne croit pas vraiment à la puissance de l’art musical, les arts, leurs pratiques et leurs œuvres comme mode de connaissance, d’appréhension et de rapport au monde ] du monde qui soit binaire. » [nous ne savons pas vraiment mais il nous semble que le monde « binaire » c’est un truc dont il n’est pas possible d’être conscient puisque c’est un truc erroné, un truc pour pouvoir ranger dans des cases, les bons, les méchants, les hommes, les femmes, etc, blabla, et que même la bible qui ne date pas d’hier nous a alerté sur le principe de la trinité et que dans le solfège il y a peut-être au moins sept notes, nous ne comprenons pas bien ce que veut dire « musicalement » ce monsieur en parlant d’une conscience d’un monde binaire, même la disco ce n’était pas binaire ! ]
« Quand un art est incapable d’inventer une émotion nouvelle –et là ce n’est pas de progrès qu’il s’agit .. » [Là on comprend mieux le hiatus : ce monsieur ne cherche pas à restituer des émotions, des sensations, des sentiments, des expériences, des cheminements, etc… ce monsieur a la prétention de inventer des émotions nouvelles, alors effectivement il ne s’agit pas de progrès il s’agit d’un cas de grossssses connnnnneries, « çà va chéri t’as inventé combien d’émotions nouvelles aujourd’hui ? ben la brouette egyptienne, la kalachnikov mexicaine, le bruit de l’eau s’il y en avait sur mars, etc .. » Cela nous rappelle une anecdote : un chorégraphe américain de qualité europeanophile nous avait raconté qu’il avait donné des cours en Russie ou à des danseurs russes quelque part en Europe quelques années après la chute du mur de Berlin et des échanges entre l’Est et l’Ouest : les danseurs russes qui avaient été privés de contact avec la danse moderne et ses évolutions étaient très avides de rattraper l’histoire de leur art ; le chorégraphe américain leur avait demandé lors d’une pause s’ ils connaissaient des chorégraphes contemporains. Ils répondirent « Merce Cunnigham et Karine Saporta ». Cette histoire nous faisait hurler de rire puisque si Merce Cunningham est effectivement quelqu’un à connaitre et « fréquenter » pour son apport singulier et irriguant aux arts de la danse, madame Saporta a surtout conçu des « spectacles avec de la danse » que certaines mauvaises langues pourraient dire non franchement inspirées par la danse du gai savoir, bref ce que cette anecdote racontait était que madame Saporta avait été envoyé en Russie après la chute du mur de Berlin et des échanges entre l’ Est et l’ Ouest par des personnes complètement irresponsables du point de vue des corps dansant et par ailleurs travaillant à l’AFAA, négligeant d’y envoyer par exemple une des plus grandes pédagogues « françaises » dans l’art de la danse et des corps dansant, we mean, l’immense madame Odile Duboc, of course »
Bref, Le journal pourrait-il nous éclaire ce que pense ce grand artiste de la photographie, monsieur François-Marie BANIER, de l’influence de la mondialisation des transactions financières et des îles de la finance off shore sur l’art de la jeune création dans l’art de la photographie ? ]
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