Le Kaléidoscope est le meilleur ami de l’Humanité(e), Conférence de Maurice.....(mes textes sont si peu lus qu'il n'est pas superflu de les replacer dansle flux, 2002)
Le Kaléidoscope est le meilleur ami de l’Humanité(e), Conférence de Maurice.....
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Selon un certain point de vue, il serait nettement absurde de chercher à produire une « critique » de quoi que ce soit. ....
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L’histoire de l’Art dans une période de confusion peut devenir une référence importante, un récit au sens temporel particulier qui toujours se redéploie, équivalent d’une Odyssée ainsi qu’Italo Calvino l’a eu décrite. Chacun peut s’en emparer dans la profusion et la circulation des œuvres et fragments, les révolutions et métamorphoses jouant ainsi à chaque instant selon de cycles et des exceptions, ici ou là,ici et là, à chacun le choix de son mode ou l’état de son inspiration. ....
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Cet arrière-plan d’apocalypse d’une histoire linéaire [ou, en d’autres termes de la faillite du principe : les mêmes causes produisent les mêmes effets] permet à la danse de retrouver sa grâce inutile. La capacité à nous laisser traverser par l’air des temps et les environnements, le temps d’un instant sur des vertes pelouses. Etait-ce avant nos trahisons ? ....
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Y-a-t’il rencontre entre le Spectateur engagé et le Corps désengagé ? Là est la question ? Ici Les jambes se croisent et se mêlent, ici les corps alanguis entrent dans la boîte noire et là les corps de reposent en White cube. Coïncidences ? Correspondances ? Tendance ? Maquettance ? Allez, oublie et danse !....
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Eh, oui, La danse peut alors commencer, sans sujet, sans objet, écran blanc des désirs à venir. ....
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Trois petits tours et puis s’en vont.
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Selon un certain point de vue, il serait nettement absurde de chercher à produire une « critique » de quoi que ce soit. ....
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L’histoire de l’Art dans une période de confusion peut devenir une référence importante, un récit au sens temporel particulier qui toujours se redéploie, équivalent d’une Odyssée ainsi qu’Italo Calvino l’a eu décrite. Chacun peut s’en emparer dans la profusion et la circulation des œuvres et fragments, les révolutions et métamorphoses jouant ainsi à chaque instant selon de cycles et des exceptions, ici ou là,ici et là, à chacun le choix de son mode ou l’état de son inspiration. ....
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Cet arrière-plan d’apocalypse d’une histoire linéaire [ou, en d’autres termes de la faillite du principe : les mêmes causes produisent les mêmes effets] permet à la danse de retrouver sa grâce inutile. La capacité à nous laisser traverser par l’air des temps et les environnements, le temps d’un instant sur des vertes pelouses. Etait-ce avant nos trahisons ? ....
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Y-a-t’il rencontre entre le Spectateur engagé et le Corps désengagé ? Là est la question ? Ici Les jambes se croisent et se mêlent, ici les corps alanguis entrent dans la boîte noire et là les corps de reposent en White cube. Coïncidences ? Correspondances ? Tendance ? Maquettance ? Allez, oublie et danse !....
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Eh, oui, La danse peut alors commencer, sans sujet, sans objet, écran blanc des désirs à venir. ....
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Trois petits tours et puis s’en vont.
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