Préférons sans cesse un comique de répétition à tout autre tragique vision

(texte d'avril 2002)

Si vous aimez commencer les livres au hasard , voici qui vous conviendra.
Le présent livre dont le sujet se développe commence par la révélation suivante :
Les Grecs (oh qu'il est doux le berceau de l'humanité) ont écrit des fictions pour infiltration et conscient de leur force (elles seraient parmi les premières) ont pris la peine d'effacer toutes traces. Leur "déjà souci" de parvenir à une histoire qui convienne à leur dessein, et leurs faces seraient sauvées, nous oblige à instruire le dossier du verso. La transcription des faits observés à la lumière de tout ce qui s'est passé depuis, c'est vous dire le travail qui a été abattu (tant de forêts) et qu'il nous reste à abattre (tant de follets), nous accorde cependant cette anecdote :

A l'époque, le Minotaure est séduit par l'idée d'Ariane,
C'est lui qui suit le fil et sort du labyrinthe,
Comment se fit la substitution et ce qu'il advint de Thésée,
Nous ne saurions encore vous le dire,
Toutefois,
Si l'on suit le fil,
C'est le mInotaure quiabandonne Ariane Sur l'île,
connaissant l'Autre, elle aurait pu le démasquer. Ainsi, de l'histoire de la voile oubliée
qui plonge le Père Egée dans une mer de deuil.
cependant,
Et là,
L'histoire devient subtile,
Ce qu'il en est,
Est
Qu'Ariane et ce Père avaient eu vent de cet échange.