ceci est une communication de la Rousse qui sème à tous vents

CECI est une communication de La Rousse qui sème qui à tous vents.

Karl Marx nous enseigne de prêter attention aux conditions de production afin d’avoir une meilleure compréhension et connaissance des choses de nos mondes, ainsi nous avions compris que les expositions d’œuvres d’artistes non mort au Château de Versailles ne disposaient pas de budget de production et qu’ainsi il s’agissait pour les organisateurs de travailler avec des galeries présentant des œuvres d’artistes non mort capables d’assumer elles-mêmes les coûts de production d’une telle exposition qu’elle pourront faire passer dans leur budget communication (investissement en termes d’images) juste au cas où elles auraient des comptes à rendre à d’éventuels actionnaires ou parents qui auraient investis dans leurs affaires et attendraient un retour sur investissement (comment se réincarner autrement si notre descendance n’a pas enfanté ?) , etc… mais il est bien sûr possible que nous nous trompions, les flux d’informations véhiculés par les médias peuvent charrier de telles pollutions ou corruptions d’informations  . BREF , un peu de pub pour nos propres pollutions nocturnes :


Nota Bene : les outils statistiques inclus dans les trucs machins du Web nous ont enseigné que notre dernier dépôt de commentaires sur la page commentaire de l’émission « le rendez-vous » a draîné un public de deux personnes la semaine du dépôt puis deux autres personnes presqu’un mois après. WAOW ! quatre personnes ! soit sur six milliards d’êtres humains, un impact sur l’audience mondiale de l’ordre de 10 -9 , que nous qualifierons de nano impact (ce raisonnement est erroné si les quatre personnes en question sont en fait rémunérées afin de vérifier que les liens des messages déposés sur les pages commentaires des émissions d’une radio du service public ne conduisent pas à des sites pédophiles). Bref, il y a quand même des sites qui draînent plus de publics (nanoimpacts) mais nous ne dévoilerons ces connaissances que contre un chèque de 110 000 euros ou un album « la menuiserie » ou trois kilos de viande bio argentine.
Ainsi, les scènes nationales françaises qui se targuent d’un public payant de 3 millions de personnes peuvent affirmer que 5.10 -4 ou 500 000 nano impacts ou 0,5 pour mille de la population mondiale sont prêt à payer pour rester enfermé une heure à quatre heures avec cinquante ou cinq cent autres personnes plus ou moins inconnues pour regarder et écouter des trucs que d’autres personnes auraient travaillé afin de leur montrer, ce qui est quand même un chiffre impressionnant si l’on considère la quasi disparition du sadomasochisme en Europe ainsi que le déplore chaque jour le MEDEF  mais peut aussi être considéré comme un chiffre encore trop faible étant donné la quasi disparition du sadomasochisme en Europe ainsi que le déplore chaque jour le MEDEF.

Digression (au cas où personne n’aurait remarqué que l‘ensemble du texte est une digression et que certains pourraient trouver qu’il y manque comme une organisation directrice en quoi nous leur répondrions qu’ils sont vraiment trop formaté vingtième siècle ), bref digression il est aisé d’imaginer, présupposer, hypothéser, etc.. que des organisations économiques comme Google ou Face BooK aurait déjà monétarisé le nano impact et qu’elles doivent également le corréler avec leurs informations concernant le pouvoir d’achat sur le web,( la fameuse singularité des nano impact) pour leurs facturations des pubs insérés dans les sites et annonçant ainsi déjà la prochaine revendication sociologiconumérique : égalité des nano impacts, « Parce que mon nano impact le vaut bien », Tous les nanos impacts ont une valeur, « mon nano impact vaut plus que ma compulsion d’achat », ne pas vouloir considérer 80% des nano impact possibles dans les populations mondiales serait une grave erreur de stratégie (cf interview de Ben Ali à l’occasion de la restitution officielle des biens et richesses qu’il avait emprunté un peu trop longtemps aux peuples tunisiens. ) mais prêtons attention aussi à ceux et celles qui essayent de verrouiller ou s’approprier les chaudrons des nano impacts (FaceBooK ? Google ? les publicitaires ? les industriels des biens culturels ?) . « Ne me dépossède pas de la force de mon nano impact », « ne pas confondre FaceBook et la communauté mondiale », « tous les nano impacts ne se mesurent pas sur Face book », « faut-il pour autant négliger Face Book ? », « et le nano impact sur Twitter ? hein ? » « mon nano impact n’est pas qu’un domino » etc…

Bref résumons-nous : si tu communiques avec six personnes d’environnements différents, tu possèdes un nano impact mondial. Mais tu peux aussi communiquer avec trois personnes qui chacune communiques avec deux autres, ou communiquer avec un mort qui lui communiques avec vingt quatre personnes et demi, etc… car comme chacun sait la mesure du réel reste bien en deçà à moins que juste à côté du réel. Mais là nous l’avouons c’est un peu une formule bateau pour repasser en Zone sans texte. Donc message à ceux et celles qui veulent tout savoir et tout contrôler « quoique vous fassiez, 80 % du réel vous échappera toujours, messieurs et mesdames les dictateurs économiques, esthétiques, scientistes ou politiques, libérez vos peuples ! Abdiquez ! ».

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