Nous avons commencé à réécrire le « grand » débat paru dans le journal art press numéro 374 ,

Nous avons commencé à réécrire le « grand » débat paru dans le journal art press numéro 374 ,

N. B : la première évolution est d’ordre casuistique : c’est l’incroyable apparition de toutes les propositions artistiques, du nombre réel des artistes, etc.. Dans les années 70, en raison de l’occultation et de la non irrigation économique, certains imbéciles pouvait encore croire envisager maîtriser un truc aussi absurde que « l’actualité mondiale de l’art contemporain » et quelques charlatans pouvaient même en faire des sortes de connaissance de cercles initiés de pouvoirs pour la baise. Cependant, depuis la désoccultation générale juste avant l’entrée dans le XXIe siècle, la croyance en la possibilité d’avoir une vue panoramique de la situation artistique mondiale a été abolie. Cependant apparemment tout le monde n’est pas au courant et certains continuent à utiliser des FALCON ainsi qu’à dépenser inutilement de l’énergie non renouvelable et fossile pour essayer de se construire un panorama d’un truc qui n’existe pas à savoir l’actualité de l’art contemporain puisque les arts contemporains à leurs époques bien que contigüe à leurs futurs antérieurs : bref, autant vouloir s’engager comme cosmonaute dans la sonde HUBBLE, ce serait plus efficace même s’il est déjà sûr que l’on mourrait rapidement et qu’il nous serait impossible d’y voir quoi que ce soit.

LQ : Vous ne dîtes pas cela en toute conscience puisque de fait nous sommes tous plus ou moins des cosmonautes parmi et donc voyant depuis entre autres hubble.

S.R : restons concentrée sur notre champ : quand je suis arrivée dans le monde de l’art, il y avait une soif pour le réel, puis nous nous sommes aperçu qu’en fait le réel ne se buvait pas puisque peut-être pas entièrement liquide puis que ce qui était nommé « monde de l’art » n’existait pas plus sûrement et que par conséquent il n’était pas possible d’y arriver, bref ce qui était réel nous devint de plus en plus évident et l’impossibilité d’en rendre compte assurément également. Certains affirmaient même qu’y être déjà quoiqu’il en soit en raison de la complexité qui marie selon des proportions propres à chacun ou chacune réel et imaginaire était la seule chose qui comptait et que tout le reste n’était que foutaise.

LQ : Au XX e siècle, la révolution industrielle démarrée au XVIIIe siècle avait eu connu son point de climax avec l’invention des chambres à gaz, mise au point ultime d’un système industriel de mise à mort de l’humain et donc depuis, le projet propre à la révolution industrielle reflue quoique beaucoup ne s’en soient pas encore rendu compte et vont même à croire des trucs aussi ridicule que l’industrialisation des services alors que les nouvelles technologies permettent en principe(s) un grand dégagement de la bêtise des volontés de dominer et le retour au sol relationnel des rapport un/un grâce à la totale explosion des concepts erronés de la masse. Certains ne l’ont toujours pas remarqué et continue de croire à la possibilité d’enculer la masse par l’acquisition de la posture du petit malin ou de la petite maligne, sans comprendre leur ainsi devenir qualificatif majeur de tumeurs sociales. Le reflux du projet industriel depuis 1945 deviendra peut être bientôt le bon point de repère pour y comprendre quoi que ce soit à un moment donné qui sera peut-être bientôt ou déjà plus là pour ceux et celles qui se préoccupent d’histoires ou de contextes influcatoires. Cependant il devient assez évident pour toutes les personnes qui s’affirment sans rire professionnel des arts que pour les années à venir le chantier à ouvrir serait celui de trouver l’analogique de la dualité onde/corpuscule dans sa traduction en matière de commentaire des œuvres ouvertes. Et si vous avez compris la phrase précédente vous êtes très fort parce que moi, je n’en suis pas sûr(e).

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