Leonard de Vinci et le changement climatique.



Leonard de Vinci trouvait difficile de peindre ces derniers jours : « L'inspiration se tarit-elle un jour ? » se demanda-t'il soucieux. Puis il se souvint qu'il peignait depuis le quinzième siècle et cessa de s'inquiéter pour quelques journées en creux. Afin de se distraire, Leonard de Vinci lut « le Canard enchaîné ». Ce n'était qu'une habitude récente. « J'aurais pu le lire depuis une centaine d'années, mais je m'intéressais peu à l'époque aux questions de l'envers du décor puisque encore obsédé par la mise en œuvre des formes et la mise en marche des machines. Mon travail, je trouve s'en est trouvé modifié, du moins, je le crois, » pensait Leonard de Vinci.
Leonard de Vinci parcouru un article qui reprenait, tout en le commentant ,le contenu d'un article, parudans le journal « Le Parisien », concernant les pratiques et habitudes des élus en faveur de la planète : « … ceux, comme Emma COSSE, qui s'affirment adeptes de la « consommation de seconde main » pour les vêtements et les jouets d'enfants. Bref, pas la franche rigolade. » Leonard de Vinci pensa que l'auteur de cet article n'avait jamais dû mettre un pied dans un vide-grenier pour dire une chose aussi bête. Rien n'est plus festif et convivial qu'un vide-grenier ! Bien plus joyeux et fun qu'une boutique GAP ou Zadig et Voltaire ou.. « … Bruno LE MAIRE « ne laisse pas couler l'eau » quand il se lave les dents, et on se caille sec chez NKM : « l'hiver, je veille à ce que le chauffage ne dépasse pas chez moi les 20°C, ça passe très bien avec un pull. » » En sa qualité de spectre, Leonard de VINCI vivait sans chauffage. « Je vis au bord de la mer dans un climat tempéré. L'hiver, il fait dix degrés dans ma maison mais avec trois pulls, cela va bien. Et puis c'est intéressant d'affronter le froid. De réhabituer son corps à vivre les saisons. Mais je ne comprends pas comment ces personnes peuvent avoir froid à vingt degrés ! Et elles ont chaud à quelle température ? Ne sont-ce pas ces personnes les premières responsables du réchauffement climatique. Si ces messieurs dames ont froid à vingt degrés, le climat va se réchauffer pour les satisfaire ! » Leonard de Vinci ressentit un profond décalage avec la communauté des vivants dont il est question dans les journaux. « ceux et celles-là ont vraiment du souci à se faire. Ils et elles ne semblent pas du tout prêt pour la séquence qui vient. » Leonard de Vinci plia le journal et partit en promenade dans la forêt « Avec un peu de chance, je croiserai Merlin et nous causerons un peu de sujets qui nous importent. »

[un peu de musique pour la route :

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