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Affichage des articles du mars, 2010

Enquête sur une idéologie (suite et fin).

[cet article a été publié initialement sur notre blog sur my space] ........ Enquête sur une idéologie (suite et fin). Extraits d’un article écrit par monsieur Pierre Anonie DEHOMMAIS publié dans le journal Le Monde daté du 07-08 mars 2010. « […] Sylvie Kaufmann, directrice de la rédaction du Monde  : « ta chronique paraît dans l’édition spéciale Journée des femmes, qu’est-ce que tu penses du thème : si Lehman Brothers avait été Lehman sisters, serions-nous dans le même pétrin ? » [ la guerre des sexes comme cache sexe, fallait vraiment y penser ! Waow ! question : si Hitler n’avait pas été petit et moche, aurions-nous eu les mêmes problèmes en Europe à la presque moitié du vingtième siècle ?] « On n’en pense pas grand-chose en vérité, mais on sait en revanche très bien qu’une suggestion de « la Kauf » équivaut à une commande ferme. » [ Super intéressant comme article ! et il est payé combien ce guignol pour obéir au doigt et à l’œil (de sa maitresse d’école, enco

Les mythologiques (suite)

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Après que nous ayons eu assassiné la voix péremptoire qui se faisait passer pour Dieu en nous injonctant un « Et maintenant, tu vas me servir ! » alors que chacun et chacune sait bien que Dieu demande d’abord à ses chacuns et chacunes de se gouverner vers eux et elles-mêmes en référence à tu, nous allions donc joyeusement écouter les nouvelles compositions prévues par les oiseaux en ce printemps naissant.

Les mythologiques (suite)

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[cet article a été initialement publiée sur notre blog sur myspace] Nous étions allées acheter du pain. La boulangère nous expliqua qu’il ne lui restait que du pain au levain avec un air faussement désolé. Je ne sais alors quel ancêtre habitué à faire son pain lui-même se réveilla en nous et voulut entamer une conversation avec la boulangère : mais qu’est-ce donc que du pain sans levain ? demanda-t-il La boulangère en mode novlangue lui répondit : Vous verrez, c’est bien meilleur, après on ne peut plus s’en passer. Et l’ancêtre d’insister : Que mettez-vous donc dans les autres pains si vous n’y mettez du levain ? Et bien, répondit la boulangère sur le même mode, il y a du pain avec levain et du pain sans levain. Comment diable faîtes-vous donc du pain sans levain ? » Nous expliquâmes alors à l’ancêtre qu’il avait affaire là à une vendeuse en boulangerie et non à une boulangère, nous tournâmes court à la conversation et quittions la boulangerie alors que l’a

Enquête sur une idéologie (suite) Analyse critique d’extraits de l’interview de monsieur Matteo Pasquinelli, théoricien des médias, paru dans Libération daté du mardi 2 mars 2010 ;

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.[cet article a été initialement publié sur notre blog sur myspace]....... « nous pensions qu’internet était une sphère en constante d’expansion, capable d’avoir une incidence sur notre société ; aujourd’hui, nous réalisons que l’espace du Net s’est inversé : ce n’est pas nous qui exploitons le réseau, mais plutôt le réseau qui nous exploite. » [ comparer avec « nous pensions qu’internet était un formidable outil pour la création de réseaux de coopération directe entre individus en limitant les intermédiaires et ainsi d’avoir une incidence démocratique sur le fonctionnement dans les sociétés civiles. Aujourd’hui, nous réalisons que l’espace du Net s’est normalisé et que s’y retrouvent les mêmes phénomènes d’exploitation des individus contre lesquelles nous avions cru et continuons de croire à la nécessité de leur disparition. »] «  Si dans les années 90, nous faisions le rêve politique d’une autonomie du réseau, aujourd’hui, nous ne faisons que survivre dans un paysage domi

Dans les années 70 et 80,

[cet article a été publiée intialement sur notre blog sur my space] ........ Nous étions au petit chalet dans la cuisine. Je devais prendre un vaccin contre le tétanos ou je ne sais quelle maladie. Le médicament était en comprimé. Ma mère me dit que je devais prendre un comprimé par jour pendant x jours et le téléphone sonna. Alors que ma mère discutait au téléphone et que j’écoutais leur conversation, je prenais mon petit déjeuner tout en absorbant machinalement et consciencieusement les comprimés de la plaque un par un jusqu’à ce qu’il n’y en ai plus, que je me « réveille » et prenne conscience de ma bêtise. Ma mère eut tellement peur lorsque je lui dis que j’avais avalé toute la plaque, qu’elle me gifla pour récupérer ses esprits, puis me donna du café salé, puis téléphona au medecin pendant que je dégueulais dans l’évier. Le medecin la rassura en lui expliquant qu’il n’y avait pas de danger dès lors que j’aurais tout vomi puisque c’était un vaccin à base matières inertes. C